Le commerce éditorial soldé qui corrompt le monde littéraire ou Petit précis (illustré) de décomposition de l'éditocratie littéraire III, Made in France, par Damien Taelman (07/01/2018)

Photographie (détail) de Juan Asensio.
Rappel de l'imposant dossier (avec l'aide de Damien Taelman) réuni contre Philippe Sollers et ses bouffons.

4213302744.jpgPhilippe Sollers et ses bouffons dans la Zone.








469904796.5.jpgLe Mouvement Sollers ou l'Art de dérober les joyaux de la poésie chinoise, suivi du Système Sollers et ses satellites, par Damien Taelman.



1421247987.2.jpgÀ France moisie écrivains rancis, par Damien Taelman.





469904796.4.jpgContre-Attaque de Philippe Sollers fait pschitt..., par Damien Taelman




239282225.jpgLe Dao de Philippe Sollers : Profession de Moi, Tapages et Dérapages, par Damien Taelman.




3037321411.jpgCopinage éditorial à L'Infini au Figaro littéraire, par Damien Taelman.




980715838.jpgPetit précis (illustré) de décomposition de l'éditocratie littéraire, Made in France, par Damien Taelman.




4055562228.3.jpgContre-attaque de Philippe Sollers et Franck Nouchi obtient le score maximal au néantomètre.




1200523751.jpgL'orbite Sollers, ou Petit précis (illustré) de décomposition de l'éditocratie littéraire II, Made in France, par Damien Taelman.




Voici une nouvelle intervention de Damien Taelman, la troisième de la série consacrée à l'éditocratie française parfaitement pourrie, note aussi précise, sourcée et imparable que les précédentes, qui s'attache à démontrer, non pas que Philippe Sollers conserve encore une influence pour le moins certaine au sein de la putride République des lettres françaises, mais que les bouffons, en plus d'agiter leurs grelots de bouffons, n'ont hélas pas disparu avec le dernier roi de France, ni même avec ce mort-vivant qu'est Philippe Sollers, roi nu du bavardage passant pour de la littérature. Ainsi, à lire l'étude de Damien, il vous prend de saintes et saines envies de refaire fonctionner à plein régime la guillotine.
L'intéressé ne m'en voudra pas de reproduire une partie de son courriel, dans lequel il explicite sa démarche, au cas où certains de mes lecteurs, sans doute les intéressés, ne comprendraient pas de quoi il en retourne dans l'exposition de cette théorie du népotisme consanguin : «avec Vincent Roy c'est une suite ininterrompue de prestations journalistiques d'un quotidien de référence au service d'entreprises privées (L'Infini et Gallimard) : Roy, journaliste «critique» littéraire au Monde, publié à plusieurs reprises dans la revue L'Infini et une fois dans la collection Folio de Gallimard, avait ciré les bottes du patron de L'Infini le 8 décembre», puis «il fait de même avec le n° 2 de L'Infini, Marcelin Pleynet, le 22 décembre... question de bien huiler ses protecteurs afin de continuer à bénéficier des bonnes grâces de Gallimard/L'Infini. Marc Pautrel, dont le dernier livre dans la collection l'Infini sort en librairie fait la promotion de son bouquin dans le dernier numéro (déc. 2017) de la revue éponyme. Or, par le plus grand des hasards célestes (pour ne pas dire sollersiens) il avait publié un panégyrique incroyable sur Sollers dans la revue de Sollers en janvier 2017..., copinage et entre-soi à... l'infini ! Quant à Haenel, il est évident qu'il bénéficie de ses entrées au Monde (qui l'a encensé il y a quelques temps pour son dernier roman) afin de publier une chronique où il prend soin de rappeler aux lecteurs qu'il vient de recevoir le prix Médicis... Bref, il se fait lui-même de la publicité (gratuite) dans Le Monde, une activité ménagère rentable !».
Quel héros impavide, pour nettoyer ces nouvelles écuries d'Augias ?

Pyramide DAO _ Damien Taelman.jpg




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