Actualité de Jean-Luc Evard (23/02/2008)

Mark Rothko, Sans titre, 1968

La Religion perverse, essai sur le charisme (éditions du Rocher).


590209099f1578209b71b1455fbd0b9e.jpg «Le projet de l'auteur est de rechercher le signe de l'absolu à plusieurs époques du pouvoir. Le problème central est bien de saisir la part d'inattendu et d'innommable dans le totalitarisme. Evard choisit d'étayer sa thèse à la lumière de plusieurs textes, ayant pour particularité d'avoir été publiés en Allemagne entre 1920 et 1934 : le Frederic II de Kantorowicz, qu'il définit comme le roman historique du Reich à venir, les commentaires de Helligrath et Heidegger sur Hölderlin proclamant le règne du Fürher, poète et monarque Pantocrator, et enfin les écrits de Goebbels et son national-esthétisme [...].»
Extrait du service de presse.

Jean-Luc Evard dans la Zone :

Ernst Jünger. Autorité et domination.
Signes et insignes de la catarophe.
Géographie mentale de la Shoah.
Leçon d'après ténèbres.
Spengler l'infréquenté.
La Grande Porte qui ne mène nulle part
.
Dislocations de la géopolitique.
Spectres et trous noirs. Sur La Littérature à contre-nuit de Juan Asensio.
Miniature de l'immonde.
Lettre ouverte au Juif imaginaire.
L'Europe sans ligne, l'Europe informe.
La Palestine et la pampa.
Dithyrambe de décembre.

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