Copinages, racolages et radotages de Philippe Sollers, par Damien Taelman (15/12/2018)
Photographie (détail) de Juan Asensio.
S'il fallait, un jour, écrire l'histoire de l'entreléchage, je ne doute pas qu'une bonne quinzaine de forts volumes seraient consacrés à Philippe Sollers et à la galaxie de bouffons serviles qu'il a créée autour de lui, qu'il ne manquera pas de publier dans sa revue (L'Infini) ou dans sa collection (L'Infini) ou même dans ces deux organes hypertrophiés de son génie imparable du truisme pour les plus méritants.
Voici un nouvel épisode, le dixième déjà, de la série intitulée Petit précis (illustré) de décomposition de l'éditocratie littéraire, Made in France préparé par Damien Taelman qui, comme toujours, illustre ses affirmations de mignonnes illustrations qui convaincraient un aveugle de cette évidence : il y a quelque chose de pourri dans la Sollersie, cet empire du copinage.
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