Anéantir Michel, ou pour en finir avec les livres moches, 4 : incurable incurie, par Thomas Savary (28/06/2023)
Photographie (détail) de Juan Asensio.





Alors que le billet précédent était consacré au gris typographique d’Anéantir, celui-ci se penchera sur les détails de la composition du livre. Souvent, des ouvrages au gris typographique satisfaisant, voire irréprochable pèchent par un manque d’attention à ces détails qui pourtant font la différence entre une composition correcte et une bonne composition. Si la qualité du gris est assurément essentielle, un typographe n’en devrait pas moins garder à l’esprit que d’ordinaire ce n’est pas pour admirer une suite de pages magnifiquement composées au rapport parfait entre noir et blanc que l’on ouvre un livre, mais tout prosaïquement pour le lire.
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