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28/06/2023

Anéantir Michel, ou pour en finir avec les livres moches, 4 : incurable incurie, par Thomas Savary

Photographie (détail) de Juan Asensio.

Voici le quatrième épisode de la passionnante et érudite série de critiques relatives à l'objet-livre portées par Thomas Savary contre le dernier roman de Michel Houellebecq, Anéantir.

460009218.jpgMichel Houellebecq dans la Zone.







3580644066.jpgMa critique d'Anéantir de Michel Houellebecq ou le dernier stade du devenir-Ehpad de la littérature française ?






2.jpgAnéantir Michel, ou Pour en finir avec les livres moches : introduction.







3.jpgAnéantir Michel, ou Pour en finir avec les livres moches, 2 : anéantir une maquette ?






4.jpgAnéantir Michel, ou Pour en finir avec les livres moches, 3 : l'impossibilité d'une oasys.








Alors que le billet précédent était consacré au gris typographique d’Anéantir, celui-ci se penchera sur les détails de la composition du livre. Souvent, des ouvrages au gris typographique satisfaisant, voire irréprochable pèchent par un manque d’attention à ces détails qui pourtant font la différence entre une composition correcte et une bonne composition. Si la qualité du gris est assurément essentielle, un typographe n’en devrait pas moins garder à l’esprit que d’ordinaire ce n’est pas pour admirer une suite de pages magnifiquement composées au rapport parfait entre noir et blanc que l’on ouvre un livre, mais tout prosaïquement pour le lire.

La suite dans ce fichier.

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