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17/06/2005
Sainte Florence Aubenas, (excellente) comédienne et martyre
Aujourd'hui, mes lecteurs, vous n'aurez droit qu'au minimum rédactionnel, puisque le stalker, qui a voté récemment non comme le bon peuple de France, jouissant, tout comme ce dernier, d'une douce RTT, se contente de vous livrer cette épigramme, anaximandrakienne quoique compréhensible : dans la Zone, il ne sera plus jamais parlé, hormis ces quelques lignes, de la canonisation de la joviale Florence Aubenas, toute nouvelle patronne de la France dont la charogne pestilentielle (celle de notre pays bien sûr, car pour l'autre, paraît-il, elle ne se décomposera point, à l'heure de son rappel, et embaumera son futur mausolée d'une fragrance d'encens et de myrrhe...), dont la charogne attend, pour être jetée dans la poubelle de l'Histoire, que Serge V (succédant logiquement à Serge IV, 1009-1012) prononce quelques mots inspirés de messe dont voici la lettre à défaut de l'esprit : qu'on en finisse, de grâce, et vite...