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07/03/2019

Ce dont Philippe Sollers et Josyane Savigneau ne parlent pas, par Damien Taelman

Photographie (détail) de Juan Asensio.

4213302744.jpgSa Majesté Philippe Sollers (et ses bouffons) dans la Zone.





Voici le onzième épisode de la série intitulé Petit précis de décomposition (illustré), etc., méticuleusement sourcé comme tous les autres et tout aussi accablant qu'eux pour les intéressés, initiée par l'anti sollersien émérite Damien Taelman. La date choisir pour la mise en ligne de ce travail méthodique déconstruisant le réseau labyrinthique d'entreléchage que Philippe Sollers, auquel les déesses Malchance et Cacographie semblent avoir accordé une exceptionnelle endurance, s'est constitué après des années de son magistère aussi bavard que pourri, cette date disais-je ne doit rien au hasard : il s'agit en effet du jour où Sollers sort en librairie sa dernière bluette, intitulée Le Nouveau (sic), de même que le roman Centre en édition de poche ainsi que le dernier numéro de L’Infini, les trois le même jour ! Je serais prêt à parier ma chemise, m'écrivait Damien Taelman que je prends la liberté de citer, que la revue sera bourrée d’extraits de sa Conversation infinie avec Savigneau, des extraits de Le Nouveau, et comme d’habitude un ou plusieurs entretiens à sa gloire… Certes un mauvais écrivain, mais il s’y connaît en marketing ! Il s'y connaît, oui, à telle enseigne qu'un autre as de la vente au quintal de bouquins, Michel Houellebecq, pourrait en nourrir une fâcheuse envie !

Ce onzième volet de l'enquête démontant, brique par brique, renvoi d'ascenseur après renvoi d'ascenseur, le système Sollers dans lequel Josyane Savigneau, qui aura été à l'indépendance d'esprit, à la qualité du travail journalistique et à la culture littéraire ce que Dorothée (du fameux Club) est à la musique classique. Je précise immédiatement que je suis bien conscient de l'horreur de cette comparaison et prie Dorothée (Frédérique Hoschedé au quotidien) de bien vouloir me pardonner cette outrance.

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