Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

« Le deuil de la littérature de Baptiste Dericquebourg, par Baptiste Rappin | Page d'accueil | Ne restons pas ce que nous sommes de François Esperet, par Gregory Mion »

15/11/2020

Aïe ça oui ! Le Figaro est du pain béni-oui-oui pour Mohammed Aïssaoui, par Damien Taelman


4213302744.jpgSa Majesté Philippe Sollers (et ses bouffons) dans la Zone.

Voici la vingt-troisième acide leçon de l'impeccable et coruscant Damien Taelman, moquant, comme il se doit (mais que plus personne n'ose devoir à ces commis), la pleine page que l'un des plus insignifiants cacographes que la Terre n'a pas eu honte d'enfanter pour édifier, sans doute, des générations de commis, Étienne de Montety patron du Figaro (dit) littéraire où travaille Mohammed Aïssaoui, parfait petit soldat de la cacographie, à son plus récent navet, copieusement arrosé par le jury du Goncourt, avant d'être relégué dans la fosse à compost d'où il n'aurait jamais dû sortir.
Patience Mohammed, patience : ta rampante servilité finira tôt ou tard par être récompensée et, alors, tu feras partie de ces écrivaillons cumulards, si nombreux entre les rives de la Seine aux eaux pourries, flattant les auteurs en vue à seule fin de voir sa daube être consacrée par quelque prix ouvertement pipé.

Je rappelle ci-dessous les deux plus récentes charges de notre intraitable pourfendeur de la consanguinité décomplexée germanopratine.

3761139529.jpgLa critique littéraire en France.







3761139529.jpgMatzneff, Beigbeder et Ardisson libidînent, hésitant pour dessert entre putes, pieu et pénils.





41527929954_83fb359c18_o.jpg