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28/07/2019

On ne se méfie jamais assez de l'avis des amimots, par Damien Taelman

Photographie (détail) de Juan Asensio.

4213302744.jpgSa Majesté Philippe Sollers (et ses bouffons) dans la Zone.


Voici le quatorzième épisode du méticuleux démontage du Meccano Sollers ou, si l'on veut, la petite prise de la Bastille opérée par Damien Taelman en ce mémorable 14 juillet dernier, qui vit le bouffon en chef Emmanuel Macron se faire copieusement huer et siffler sur l'avenue que le Commerce et le Tourisme de masse ont transformée en la plus laide du monde ou peu s'en faut. Philippe Sollers, lui, et son cénacle de petits commis, ne sont hélas toujours pas sifflés par nos journalistes les plus incultes, qui tous rêvent de se voir publiés dans L'Infini, mais un lecteur aussi attentif que Damien Taelman ne cesse de huer ce pseudo grantécrivain, et de rappeler qu'il est tout ce que l'on voudra mais qu'il n'est pas, en aucun cas, quel que soit son livre, un écrivain, fût-il mineur.
On ne se méfie jamais assez de l’avis des amimots concerne pour la seconde fois Franz-Olivier Giesbert, bichonné et léché par le directeur du Nouveau [sic] Magazine [dit] Littéraire, lequel pourra sans doute en échange avoir droit à son dithyrambe dans Le Point lorsqu’il sortira son prochain navet ! Ainsi va la critique littéraire française «officielle», ou merveilleux royaume de l'entre-soi le plus décomplexé qui soit !

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