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06/03/2019

De la littérature considérée comme un trou noir : Maudit soit Andreas Werckmeister !

Photographie (détail) de Juan Asensio.

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28/08/2008

Béni soit Juan Asensio !, par Christopher Gérard

Illustration : Revue Science/AAAS.

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11/06/2008

Maudit soit Andreas Werckmeister !, par Henri Du Buit

Photographie de F. Javier Alvarez Cobb (intitulée Venta del corazon de la literatura), extraite de la série intitulée Autopsia, en référence à ce blog.


Rappel :
Cette note critique d'Élisabeth Bart contient une revue de presse consacrée à mon livre.
Sur les ouvrages d'Henri Du Buit : Tu n'écriras pas mon Nom et Ce qui est écrit est écrit.

Au début on a autant de mal à lire l’ouvrage de Juan Asensio qu’à prononcer son titre : Maudit soit Andreas Werckmeister !
La difficulté vient du sujet. Il s’agit en effet de la description du cadavre de la Littérature.
Étudier le vivant est chose difficile, ne faut-il pas endormir le sujet ou le tuer ? Chacun a déjà disséqué une grenouille ou un rat. Ce qui est gênant c’est surtout l’odeur du chloroforme. Sous le scalpel d’Asensio l’odeur est terrible et va s’amplifiant : l’odeur de la mort n’a pas les yeux de Brad Pitt mais bien ceux de la décomposition.

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03/05/2008

Maudit soit Andreas Werckmeister !, toutes premières réactions, 2



En attendant l'apostille critique annoncée par Olivier Noël, apostille faisant logiquement suite à sa critique de mon dernier livre, voici la seconde lettre que Carmen Muñoz Hurtado m'a envoyée.
Elle constitue une réaction au texte d'Olivier qui, je l'espère, comprend quelque peu l'espagnol.
Non, il ne le comprend pas, comme il vient de me l'apprendre... ! Dans ce cas, je vais prier pour que notre bon transhumain reçoive, durant quelques minutes, le don des langues... Du reste, il n'est pas bien difficile de deviner que Carmen n'est pas exactement d'accord avec l'avis exprimé par Olivier.
Ayant déjà écrit ce que je pensais du texte de mon ami (pour que les choses soient parfaitement claires : son travail est pour le moment le seul et le plus complet réalisé sur mon livre), je me contenterai désormais de me servir de ce blog comme d'une caisse de résonance (au cas, bien sûr, où d'autres critiques seraient consacrées à Maudit soit Andreas Werckmeister !), constatant avec un certain plaisir que ce petit livre fait apparemment réagir ses tout premiers lecteurs.

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28/04/2008

Maudit soit Andreas Werckmeister ! : toutes premières réactions

Jean-Pierre Velly, Enfin, 1973
Jean-Pierre Velly, Enfin, 1973 (eau-forte et burin sur cuivre).


Un auteur qui n'a pas été publié par un éditeur se trouve à peu près dans un état voisin de celui du pucelage : peu ou beaucoup de théorie, aucune pratique (ou si peu, ou finalement si triste, solitaire).
Voilà ce que je répétais encore à Pierre Cormary, durant une soirée fort arrosée chez une amie commune. Cormary, fidèle à sa complexion, se déclarait, devant des convives pour le moins sceptiques (leur scepticisme cependant atténué par leur plus ou moins grande ivresse), très fier d'être, dans ce cas, un puceau.
Je crois même, mais mes souvenirs de cette soirée sont confus, qu'il m'affirma ne vouloir absolument pas perdre son pucelage.
Un auteur publié qui n'a pas encore essuyé le feu de la critique comme l'écrivent les journalistes n'est, à son tour, pas grand-chose de plus qu'un béjaune, disons un gars de l'infanterie qui, en guise de blessures, n'a rien vu de plus que celles de ses amis revenus du front. C'est déjà cela.
Ce n'est pourtant pas grand-chose.
Voici donc les toutes premières appréciations concernant, comme le remarque Olivier Noël, cet étrange livre en effet qu'est Maudit soit Andreas Werckmeister ! : en attendant un billet de Dominique Autié sur son blog, un article de Rémi Soulié à paraître en revue, en pouvant lire, d'ores et déjà, le texte sans concessions (tant mieux) de Noël, qui n'a pas vraiment relevé la dimension religieuse de mon livre (ce qui est normal, chez lui) et s'imagine (ce qui est plus étonnant) que je ne parle que de métaphores lorsque j'évoque le mécanisme de certains romans, voici le commentaire de Carmen Muñoz Hurtado (intitulé ¡ Bendito sea Andreas Vesalius !), que je reproduis ci-dessous puisqu'elle me l'a envoyé par courriel.

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