31/07/2017
Roberto Bolaño dans la Zone
23/03/2014
2666 de Roberto Bolaño dans la Zone
05/02/2013
Maudit soit Andreas Werckmeister !
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28/10/2009
Toutes les langues (ou presque !)
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11/12/2008
La carretera de Cormac McCarthy
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13/05/2008
La Ville, son archange de misère, l'espérance : texte intégral
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03/05/2008
Maudit soit Andreas Werckmeister !, toutes premières réactions, 2
En attendant l'apostille critique annoncée par Olivier Noël, apostille faisant logiquement suite à sa critique de mon dernier livre, voici la seconde lettre que Carmen Muñoz Hurtado m'a envoyée.
Elle constitue une réaction au texte d'Olivier qui, je l'espère, comprend quelque peu l'espagnol.
Non, il ne le comprend pas, comme il vient de me l'apprendre... ! Dans ce cas, je vais prier pour que notre bon transhumain reçoive, durant quelques minutes, le don des langues... Du reste, il n'est pas bien difficile de deviner que Carmen n'est pas exactement d'accord avec l'avis exprimé par Olivier.
Ayant déjà écrit ce que je pensais du texte de mon ami (pour que les choses soient parfaitement claires : son travail est pour le moment le seul et le plus complet réalisé sur mon livre), je me contenterai désormais de me servir de ce blog comme d'une caisse de résonance (au cas, bien sûr, où d'autres critiques seraient consacrées à Maudit soit Andreas Werckmeister !), constatant avec un certain plaisir que ce petit livre fait apparemment réagir ses tout premiers lecteurs.
28/04/2008
Maudit soit Andreas Werckmeister ! : toutes premières réactions
Un auteur qui n'a pas été publié par un éditeur se trouve à peu près dans un état voisin de celui du pucelage : peu ou beaucoup de théorie, aucune pratique (ou si peu, ou finalement si triste, solitaire).
Voilà ce que je répétais encore à Pierre Cormary, durant une soirée fort arrosée chez une amie commune. Cormary, fidèle à sa complexion, se déclarait, devant des convives pour le moins sceptiques (leur scepticisme cependant atténué par leur plus ou moins grande ivresse), très fier d'être, dans ce cas, un puceau.
Je crois même, mais mes souvenirs de cette soirée sont confus, qu'il m'affirma ne vouloir absolument pas perdre son pucelage.
Un auteur publié qui n'a pas encore essuyé le feu de la critique comme l'écrivent les journalistes n'est, à son tour, pas grand-chose de plus qu'un béjaune, disons un gars de l'infanterie qui, en guise de blessures, n'a rien vu de plus que celles de ses amis revenus du front. C'est déjà cela.
Ce n'est pourtant pas grand-chose.
Voici donc les toutes premières appréciations concernant, comme le remarque Olivier Noël, cet étrange livre en effet qu'est Maudit soit Andreas Werckmeister ! : en attendant un billet de Dominique Autié sur son blog, un article de Rémi Soulié à paraître en revue, en pouvant lire, d'ores et déjà, le texte sans concessions (tant mieux) de Noël, qui n'a pas vraiment relevé la dimension religieuse de mon livre (ce qui est normal, chez lui) et s'imagine (ce qui est plus étonnant) que je ne parle que de métaphores lorsque j'évoque le mécanisme de certains romans, voici le commentaire de Carmen Muñoz Hurtado (intitulé ¡ Bendito sea Andreas Vesalius !), que je reproduis ci-dessous puisqu'elle me l'a envoyé par courriel.
27/04/2008
La Ville, son archange de misère, l'espérance, intermède, par Carmen Muñoz Hurtado
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15/04/2008
2666 margaritas para los cerdos…, par Carmen Muñoz Hurtado
Ce texte fait suite à ma longue critique de 2666.
Estimado Juan.
Tu texto en torno a 2666 de Bolaño ha inspirado la escritura de estas palabras sueltas que te hago llegar con total admiración por tu pluma ácida, valiente y punzante. Tienes total razón al referirte, del modo que los has hecho, al ejercicio de la pseudo crítica literaria. Yo me sumo y meto en el mismo saco a los «literatosos de Chile», como los bautizó el gran poeta Gonzalo Rojas.
En mi país, la crítica no ha muerto, pues nunca ha nacido.
Esta larga faja de tierra siempre ha querido vivir a la sombra de Europa, agazapada como ave carroñera ante un cadáver que no le pertenece. Nuestros intelectuales, en el nacimiento de la República, quisieron remedar el modelo francés academicista, convirtiendo a la capital en una frágil maqueta de París. Vestían, fumaban, fornicaban, escribían, pintaban, esculpían y defecaban como un señorito francés. No sin cierta vergüenza, debo decir que en 1922 tuvimos una circense parodia de estertores vanguardistas, llamada Grupo Montparnasse, que pintaba a la manera del Cézanne juvenil, en la misma época en que el Gran Vidrio de Duchamp se trisaba en dos fragmentos.
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