« Considérations sur la France de Joseph de Maistre | Page d'accueil | La nouvelle gigantomachie, 2 : les religions de l’immédiation : du messianisme révolutionnaire à l’utopie industrielle, par Baptiste Rappin »
14/02/2018
Petit précis (illustré) de décomposition de l'éditocratie littéraire V, Made in France, ou Les liaisons fructueuses de Gallimard avec le Figaro Littéraire, par Damien Taelman
Rappel de l'imposant dossier (avec l'aide de Damien Taelman) réuni contre Philippe Sollers et ses bouffons.







Série intitulée Petit précis de décomposition littéraire.




Le cinquième volet de notre passionnant feuilleton, signé Damien Taelman, sur les liens petits et grands unissant la clique sollersienne de Gallimard et la presse française se poursuit, cette fois-ci avec deux de nos plus fidèles habitués, j'ai nommé Étienne de Montety, le journaliste le plus insignifiant du monde et pour cette raison-même, sans doute, gardé à la tête du Figaro (dit) Littéraire, et le bon Mohammed Aissaoui, qui jamais n'a su hésiter une seule seconde lorsqu'il s'est agi d'appuyer très fermement sur le bouton Renvoi de l'ascenseur. Dans ce nouvel épisode, il s'agit de lustrer les chaussures vernies de Jérôme Garcin, auteur d'un parfaitement inutile, mais gallimardesque, Le syndrome de Garcin qu'il s'agit donc de vanter copieusement, et celles d'un certain Benjamin Pitchal, lui aussi auteur, comme c'est étrange, chez Gallimard.
Lien permanent | Tags : littérature, critique littéraire, journalisme, maljournalisme, le monde des livres, le figaro littéraire, l'obs, mathieu terence, vincent roy, philippe sollers, yannick haenel, éditions gallimard, revue l'infini, collection l'infini, étienne de montety, grégoire leménager, marcelin pleynet, marc pautrel, philippe forest, bertrand leclair, jérôme garcin, benjamin pitchal, mohammed aïssaoui | |
Imprimer