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30/01/2008
Synesthésies, 2
26/01/2008
Apologia pro Vita Kurtzii, 5 : No Country for Old Men de Cormac McCarthy
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23/01/2008
Journal d'une lecture, 5 : Le Tunnel de William H. Gass
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20/01/2008
Spectres et trous noirs. Sur La Littérature à contre-nuit, par Jean-Luc Evard
18/01/2008
Babel 17 de Samuel Delany
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16/01/2008
La vérité sur le cas de M. Gracq
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14/01/2008
Je dis nous de Guy Dupré
11/01/2008
Faut-il réhabiliter les Cathares ?, par Germain Souchet

Voici une longue et belle note critique, sous la plume de Germain Souchet, consacrée aux travaux de Michel Roquebert sur le catharisme.
Le fichier au format PDF (compressé) est illustré par quelques photographies que je pris lors d'un déjà vieux séjour sur cette terre fascinante (dès qu'on accepte d'en extraire les hordes de touristes aux jambes poilues et aux exclamations tonitruantes, ce qui certes constitue un bel exercice de concentration ou d'abstraction du réel... Un de ces exercices spirituels que prisaient, en somme, les Cathares).
Bonne lecture.
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09/01/2008
Méditations hivernales sur la nature, par Thierry Giaccardi

À Dominique Jeannerod, derrière les différences de vue une même sensibilité.
Les fêtes de fin d’année sont toujours de celles qui provoquent les plus grandes réjouissances familiales, ce qui est juste et bon car la famille, contrairement à l’idéologie moderne qui l’a rendue suspecte à la suite du cri efféminé de Gide, «familles, je vous hais» (1), constitue «l’un des biens les plus précieux de l’humanité», comme l’a rappelé le pape Jean-Paul II dans son exhortation apostolique, Les tâches de la famille chrétienne dans le monde d’aujourd’hui. Maurras a écrit des pages magnifiques sur le rôle de la famille où la justesse de l’observation n’égale que la perfection du style. C’est ainsi que le Maître de Martigues relève avec une certaine ironie mêlée de tendresse que «contrairement aux grandes plaintes du poète romantique, la lettre sociale, qui paraît sur l’épaule nue, n’est pas écrite avec le fer. On n’y voit que la marque des baisers et du lait : sa Fatalité se dévoile, il faut y reconnaître le visage d’une Faveur» (2). Il est bien vrai que l’hiver invite à réfléchir sur l’essentiel.
Durant la «morne» saison (3), le froid engourdit les membres, l’homme s’enferme alors dans son logis avec les siens. Il préserve avec un savoir-faire transmis par ses ancêtres (4) la chaleur à l’intérieur de son foyer en en faisant profiter tous les membres de sa famille, se conformant ainsi à la tradition inaugurée par Prométhée, lequel avait dérobé le feu aux dieux pour le donner aux hommes. En se penchant sur sa compagne et ses enfants il redécouvre des gestes de tendresse exprimant bien la vie en symbiose (5).
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