Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

« 2008-07 | Page d'accueil | 2008-09 »

31/08/2008

Ils étaient dix, par Pierre Damiens

340x.jpg


«La parole, qui trop souvent n’est qu’un mot pour l’homme de haute politique, devient un fait terrible pour l’homme d’armes; ce que l’un dit légèrement ou avec perfidie, l’autre l’écrit sur la poussière avec son sang, et c’est pour cela qu’il est honoré de tous, par dessus tous, et beaucoup doivent baisser les yeux devant lui.»
Alfred de Vigny, Servitude et grandeur militaires (1835).


Ils étaient dix…
Ils étaient dix… soldats de France, jeunes recrues et vieux briscards, compagnons d’armes et d’infortune, pour l’aventure ou pour la gloire, pour l’amitié qui relie les hommes, lorsque l’adversité, le doute, la fatigue et parfois la peur rendent la solitude encore plus insupportable, cette solidarité qui naît au feu et que le «péquin» ne connaît pas.
«Heureux ceux qui sont morts dans une juste guerre…». Mais cette guerre est-elle juste ? Et puis, est-ce si important d’être heureux quand on meurt ? En a-t-on vraiment le temps ? Que la guerre soit juste n’est de toute façon pas l’affaire du soldat. Lui se doit seulement de faire de la manière la plus juste toutes les guerres qu’on lui ordonne de livrer. Mais s’agit-il bien d’une guerre ? Ou bien l’a-t-on seulement dépêché aux confins de l’Afghanistan, cette terre dure qui a engendré les plus farouches des hommes, comme victime expiatoire des péchés des autres ?

Lire la suite

30/08/2008

L’Ange de la vengeance : Ferrara ou le cauchemar de Thana, par Francis Moury

Lire la suite

28/08/2008

Béni soit Juan Asensio !, par Christopher Gérard

Illustration : Revue Science/AAAS.

Lire la suite

26/08/2008

Entretien avec Roman Bernard : un peu de journalisme, beaucoup de maljournalisme et le Celsa en guise de cerise sur le gâteau

«It's not for real
It's just passed the time
It's not real
All I do is rhyme

It's not real
It's just passed the time
All I do, all I do is rhyme.»
Tricky, For real, extrait de l'album Juxtapose.


Le hasard, donnons à la mystérieuse loi qui nous gouverne un nom commode qui n'est bien évidemment pas le sien, le hasard fait bien les choses comme disent ma boulangère et tel pigiste du Parisien. Lisant l'un des ouvrages qui, selon Guy Dupré, constituent l'essence secrète de la littérature française, le magnifique et crépusculaire Solstice de juin de Henry de Montherlant, je suis frappé par les propos de simple bon sens que le général Jean-Louis Georgelin a livrés au Figaro du 22 août (1), où il affirme quelques évidences aisément oubliées (ou simplement occultées) par les cervelles de moutons de nos compatriotes, comme celle-ci :

Lire la suite

25/08/2008

Intégralité de l'entretien avec Marc Alpozzo : les larmes du Stalker

Crédits photographiques : Photo and caption by Lorenzo Menendez (Nature/National Geographic Photo Contest).

Lire la suite

22/08/2008

L'heure de la fermeture dans les jardins d'Occident de Bruno de Cessole

Photographie (détail) de Juan Asensio.

Lire la suite

20/08/2008

Le monde que Mario Praz a vu

Crédits photographiques : Smiley N. Pool (AFP/Getty Images).

Lire la suite

15/08/2008

La Faille de Gregory Hoblit, par Francis Moury



Fiche technique succincte
Mise en scène : Gregory Hoblit
Prod. : Charles Weinstock (New Line Cinema, Castle Rock Entertainement, Weinstock Prod., M7 Filmproduktion)
Scénario : Daniel Pyne et Glenn Gers d’après une histoire originale de Daniel Pyne
Directeur de la photo : Kramer Morgenthau
Montage : David Rosenbloom
Mus. : Mychael et Jeff Danna

Casting succinct
Anthony Hopkins (Ted Crawford), Embeth Davidtz (femme adultère de Crawford), Billy Burke (inspecteur Nunally), Ryan Gosling (procureur adjoint Willy Beachum), Rosamund Pike (Nikky), David Strathairn (procureur), etc.

Résumé du scénario
Le riche industriel Ted Crawford, un magnat de l’aéronautique, pense s’être vengé de son épouse, et de l’amant de celle-ci qui est un inspecteur de police, en commettant un crime parfait… qui échoue pourtant. Un jeune procureur adjoint, Willy Beachum, suppose le faire aisément inculper pour tentative de meurtre. Il a tort : Crawford ressort libre du tribunal, provoque le suicide du policier mis en cause et parachève le meurtre de son épouse. Alors seulement Beachum mesure à quel point Crawford l’a manipulé et quel danger il représente…

Lire la suite

13/08/2008

Les larmes du Stalker. Entretien avec Marc Alpozzo, 5

Photographie reproduite avec l'aimable autorisation de Joël Soleau.


Marc Alpozzo
Vous avez une immense admiration pour des écrivains comme Georges Bernanos, Léon Bloy, ou Joseph de Maistre entre autres, que la culture et la pensée dominante ne regardent pas spécialement d’un bon œil. Selon vous, qu’est-ce que ces écrivains ont apporté à leur génération, et que peuvent-ils encore transmettre à la nôtre et à la prochaine ?

Lire la suite

10/08/2008

François Rastier ou Toto à Auschwitz

Crédits photographiques : Richard Vogel (AP Photo).

Lire la suite