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17/11/2012

Renaud Camus dans la Zone

Crédits photographiques : Marko Drobnjakovic (Associated Press).

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08/04/2011

Le libéralisme méconnu de Renaud Camus, par Roman Bernard

Crédits photographiques : Gonzalo Fuentes (Reuters).

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11/02/2010

Ce qu’on doit à Frédéric Bastiat, par Roman Bernard

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27/04/2009

Entretiens/Dialogues

Crédits photographiques : Asmaa Waguih (Reuters).

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03/02/2009

Les deux Républiques françaises de Philippe Nemo, par Roman Bernard

Francisco Goya y Lucientes (1746-1828), Los Caprichos, 39, Asta su Abuelo.


À propos des Deux Républiques françaises de Philippe Nemo (PUF, 2008. Les pages entre parenthèses font référence à cette édition).

Roman Bernard est l'auteur de Criticus.

9782130558880.jpgLes évocations de deux France, de deux Républiques, ne sont certes pas neuves. Elles ont notamment été formalisées par les historiens Michel Winock et Maurice Agulhon dans leurs ouvrages respectifs, La Fièvre hexagonale et La République (1880-1932; 1932 à nos jours).
L’originalité du propos de Philippe Nemo tient à ce qu’il est formulé par un libéral. Comme Winock et Agulhon, deux jacobins, comme François Furet (un stalinien repenti devenu libéral) également dans La Révolution française, Nemo distingue deux idéaux-types issus de la Révolution : «1789» et «1793», le premier correspondant à la démocratie libérale, l’État de droit et les libertés publiques établis par la Constituante et la Législative de 1789 à 1792, le second à «un projet de société jacobin, étatiste et socialiste», mis en œuvre de 1793 à 1794, lors du sanglant épisode de la Convention montagnarde (p. 1).

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06/10/2008

Le maljournalisme à la française : une année au Celsa

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26/08/2008

Entretien avec Roman Bernard : un peu de journalisme, beaucoup de maljournalisme et le Celsa en guise de cerise sur le gâteau

«It's not for real
It's just passed the time
It's not real
All I do is rhyme

It's not real
It's just passed the time
All I do, all I do is rhyme.»
Tricky, For real, extrait de l'album Juxtapose.


Le hasard, donnons à la mystérieuse loi qui nous gouverne un nom commode qui n'est bien évidemment pas le sien, le hasard fait bien les choses comme disent ma boulangère et tel pigiste du Parisien. Lisant l'un des ouvrages qui, selon Guy Dupré, constituent l'essence secrète de la littérature française, le magnifique et crépusculaire Solstice de juin de Henry de Montherlant, je suis frappé par les propos de simple bon sens que le général Jean-Louis Georgelin a livrés au Figaro du 22 août (1), où il affirme quelques évidences aisément oubliées (ou simplement occultées) par les cervelles de moutons de nos compatriotes, comme celle-ci :

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