12/09/2020
Le Temps gagné de Raphaël Enthoven, ce roman que l'on expédie d'un derrière (point tout à fait) distrait
18/11/2019
Au-delà de l'effondrement, 31 : Missa sine nomine d'Ernst Wiechert
30/07/2019
La Chute d'Albert Camus
30/12/2018
Excellences et nullités, une année de lectures : 2018
Lien permanent | Tags : littérature, critique littéraire, excellences et nullités, stanislas fumet, léon bloy, jack black, monsieur toussaint louverture, desclée de brouwer, george r. stewart, bernard charbonneau, éditions fage, éditions rn, manuel arroyo-stephens, éditions de la table ronde, thomas de quincey, gallimard, robert penn warren, éditions phébus, joseph de maistre, éditions bartillat, joseph conrad, barbey d'aurevilly, éditions du sandre, marcelle sauvageot, joris-karl huysmans, oscar wilde, jaime semprun, édiions l'encyclopédie des nuisances, roberto bazlen, éditions de l'olivier, gian luca potestà, les belles lettres, car schmitt, albert camus, jean lorrain, jacques vier, éditions téqui, georges darien, éditions 1018, mario praz, éditions christian bourgois, leonard castellani, éditions pierre-guillaume de roux, clémentine haenel, leo perutz, ödön von horváth, édittions phébus, éditions belfond, phillip lewis | | Imprimer