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10/05/2004

Les Chants de Maldoror de Lautréamont

Crédits photographiques : Henry Romero (Reuters).

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Tu n'écriras pas mon Nom

Crédits photographiques : Pichi Chuang (Reuters).

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07/05/2004

Pierre Boutang par Luc-Olivier d'Algange

Crédits photographiques : Camille Seaman (National Geographic).

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03/05/2004

Pierre Marcelle déconstruit

Crédits photographiques : Uriel Sinai (Getty Images).

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28/04/2004

La revue Place au(x) panses d'Olivier Pascault

Crédits photographiques : Arno Burgi (AFP/Getty Images).

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26/04/2004

Maurras : le bonheur est-il dans le pré ?, suivi d'un article de Rémi Soulié sur La Maison un dimanche de Pierre Boutang

Crédits photographiques : Oded Balilty (Associated Press).

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20/04/2004

Sciascia l'énigmatique

Crédits photographiques : Esteban Felix (AP Photo).

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L'Imbécile, Topo, La Sœur de l'Ange, Conférence

Heureusement qu’existent encore les revues, respiration essentielle (mais souffreteuse, chaotique et difficile, en un mot : fragile) d’une vie intellectuelle qui n’est pas encore inféodée au journalisme ou, plus prosaïquement, noyée dans un bidet de phrases sales. J’ai donc lu quelques articles (quelques-uns seulement, c’est mon droit) de deux revues, Topo et L’Imbécile. Cette dernière consacre à Nietzsche, le penseur indémodable de toutes les modes, y compris les plus ineptes, un dossier pour le moins inégal, dont le texte de Pascal Imaho consacré aux transpositions cinématographiques de la pensée nietzschéenne, m’a semblé le plus intéressant. Une bizarrerie toutefois, concernant l’interprétation d’un passage célèbre du film de Tarkovski, Stalker : comme d’ailleurs l’indique l’illustration choisie, ce n’est pas l’Ecrivain qui se recroqueville en position fœtale dans un cours d’eau (ou plutôt, une espèce de marécage à moitié asséché), mais bel et bien le passeur, c’est-à-dire le stalker, innocent touché par la grâce qui, lui, à la différence des deux autres personnages, est désespéré de constater le peu de foi qui anime les faits et gestes des hommes qui l’accompagnent et qui pensent que la Zone n’est rien d’autre qu’une vaste foire mystérieuse leur réservant d’agréables surprises. Quant au fait de prétendre, Pascal Imaho, que le chien noir est la « personnification » (ânerie monumentale : il s’agit d’une animalisation) du Malin, allons allons !, laissez donc ce symbolisme poussif aux rédactrices d’Elle… et regardez de nouveau le film de Tarkovski, puisque le chien, au contraire de vos affirmations, apparaît dans la Zone, d’où pourtant toute vie est exclue, puis suit le stalker et, d’une certaine façon, l’adopte. Les approximations me paraissent heureusement moins visibles dans le deuxième article d’Imaho, qui évoque bellement les films de Jarmush, Gallo et Yu Lik Wai, respectivement Coffee and Cigarettes, The Brown Bunny et All Tomorrow’s Parties. C’est à peu près tout ce qui m’a frappé dans ce numéro de L’Imbécile redivivus, hormis peut-être l’article de Frédéric Schiffter consacré au phénomène du fanatisme (qui pourtant jamais n’évoque cette évidence : aujourd’hui, le fanatisme est celui de certains musulmans). J’évoque rapidement le papier bizarre de Frédéric Pajak sur François Hollande (on hésite à parler de portrait doucement ironique ou de dénonciation feutrée s’accordant bien, après tout, avec l’insignifiance de l’homme politique croqué), celui de Florian Zeller sur Aznar (d’une écriture nulle qui accumule les poncifs et critiques d’arrière-comptoir à l’égard de l’ex-dirigeant espagnol) et, enfin, le meilleur des trois, l’article de Guy Protche sur Marc-Olivier Fogiel. Ah, non, j’allais oublier le texte très drôle de Philippe Muray sur le fléau du rire, récupérant (cette fois avec intelligence) les tics de langage (donc d’esprit) propres au petite peuple de gauche.
Voilà tout. C’est peu mais la tentative (ou plutôt sa redite) est intéressante à mon sens même si elle manque de maturité.
C’est ce même reproche que j’adresserai à Topo, le «mensuel de tous les livres» (le sous-titre fait déjà rire… et frémir), dont la dernière livraison est consacrée à la question de Dieu, plus précisément à celle du Christ et de ses représentations cinématographiques, littéraires et mystiques. J’établis une gradation là où les rédacteurs de Topo se contentent de juxtaposer des textes dans une mise en page capable d’infliger une migraine ophtalmique à un adepte du fauvisme. Les deux articles consacrés au polémique film de Mel Gibson sont ridicules et traduisent assez le parti-pris idéologique de la revue, dont Prieur et Mordillat sont les rédacteurs en chef invités (avant le grand philosophe Alain Souchon et après Bashung, Isabelle Carré et Josiane Balasko…A quand un numéro piloté par Steevy ?). Il y a cependant des articles intéressants et, je dois le dire, assez surprenants par les figures qu’ils évoquent, qu’elles soient profanes ou mystiques : par exemple celui, sous la plume de Delphine Hautois, présentant Charles Du Bos dans son immense Journal. Celui encore de Jean-Marc Talpin sur l’expérience mystique féminine qui lui permet de mentionner une de mes collections favorites, Atopia, chez Jérôme Millon, que je n’inviterai jamais assez à découvrir. Je mentionne encore l’entretien avec Denis Podalydès relatant ses expériences de lectures enregistrées et, cette fois pour insister sur sa nullité critique qui n’est pas même celle d’une quatrième de couverture, le texte de Lorraine Rossignol évoquant les amours païennes, dont le collectif de Cancer !, Gueules d’amour, remarquablement analysé par une plume qui ferait fortune, je crois, si elle se cantonnait à la rédaction des notices d’utilisation pour aspirateurs.
Apparemment, puisque le mot «hasard» est réservé aux imbécile selon Léon Bloy, il était nécessaire (de toute éternité aurait ajouté l’écrivain) que je lise cette revue durant le long trajet qui me conduisait en train vers l’insignifiante, laide et commerçante ville (plutôt bourgade) de Lourdes. Je n’ai d’ailleurs pas eu besoin de me souvenir des textes d’une violence qui nous semble aujourd’hui inouïe que lui consacrèrent Huysmans et Bloy pour trouver cette verrue miraculeuse (au superbe paysage qui l’entoure mais aussi à toute conception d’une foi exigeante et solitaire), immédiatement et sans hésitation, d’une vulgarité extraordinaire, pas seulement, hélas !, commerçante.
Il fallait donc, aussi, que je revienne à Paris pour parcourir (parcourir seulement, hélas) le superbe travail accompli par Matthieu Baumier pour le premier numéro de La Sœur de l’Ange dont je reparlerai bien évidemment dès que j’aurai quelque instant à lui consacrer. Je songe toutefois, en tournant les pages nombreuses de La Sœur, pour celles et ceux qui la connaissent, à la revue (le terme est faible) intitulée Conférence, créée par Christophe Carraud qui, à présent, dirige une collection chez Jérôme Millon, Nomina. Je suis de même certain que Matthieu Baumier saura éviter à sa très belle revue de sombrer dans le détestable clanisme qui est le cruel, l’impardonnable défaut de Conférence, à la fois admirable lorsqu’elle publie des textes (bien souvent inédits) d’auteurs tels que Pétrarque, Anders ou Hill et pitoyable lorsqu’elle ouvre ses colonnes à des auteurs contemporains (presque toujours la même clientèle de cueilleurs de champignons poétiques et de rimailleurs spécialisés dans l’ode aux petits étangs, il suffit de jeter un œil sur le «cahier de création» de chacun des numéros pour s’en convaincre) qui en déparent la qualité et la profondeur évidentes.

14/04/2004

Gómez Dávila ou la passion de la Réaction

Studia daviliana, par Philippe Billé

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11/04/2004

Our dried voices, when we whisper together...

Crédits photographiques : Scott Olson (Getty Images).

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08/04/2004

Lecture de Cancer !, acte troisième

 Je continue ma lecture de Cancer !, remarquant un fait pourtant frappant que je n’ai pas suffisamment développé dans ma précédente note de lecture. La majorité des articles de ce numéro bien décevant, qui heureusement ne nous a pas imposé, cette fois-ci (par quel miracle de saine sévérité éditoriale ?) de ridicule et pitoyable exégèse des œuvres complètes d’Alizée, est presque exclusivement tournée vers les nombrils respectifs des différents cancéristes, à l’exception notable de quelques textes, de loin les meilleurs, que j’ai déjà signalés.

On me rétorquera, d’une façon bien convenue, que la création véritable n’est presque jamais un travail critique mais qu’elle doit au contraire explorer, dans une jouissive et incontrôlable descente au milieu des remugles des streams of consciousness, les tréfonds inconnus d’une libido éruptive, en fait minimaliste et dramatiquement privée d’une originalité qui, à tout prendre, aurait plus intérêt à s’ouvrir à ce qui la dépasse, le texte d’un autre par exemple, la beauté d’une œuvre qui n’est pas issue de sa petite plume. On me servira, là encore sans génie ni même étonnement, la soupe froide de Rimbaud, de Butler ou de Joyce et de combien d’autres voyants (ou prétendus tels) qui ont dû, pour écrire, cultiver sur leur propre cœur quelque monstrueuse verrue qui effraierait la vue d’un blême et innocent « universitaire », apparemment la classe d’insecte punaisé à laquelle j’appartiendrais… Bien évidemment, tous ces prétendus arguments sont d’une bêtise totale et ces magnanimes contradicteurs d’oublier allègrement que nous avons, pour nous convaincre du labeur intime et énorme d’écriture que représentèrent ces prétendues plongées en apnée, les brouillons d’Une saison en enfer et les notes, mille fois recuites sous le feu de l’érudition, concernant l’écriture-limite de Finnegans Wake. Et combien de pages d’auteurs qui ont commenté les œuvres admirées de leurs prédécesseurs ou contemporains : Borges sur une multitude d’écrivains, souvent obscurs, T. S. Eliot sur les poètes anglais ou sur Dante, Diderot, Baudelaire et Claudel sur les peintres et les poètes, etc.

Non, foin de tout cela, car nous sommes à l’heure sacrée où le soleil nietzschéen, celui qui semble exposer à un cancer de la peau l’équipe de L’Imbécile, darde son trait à la verticale de notre ego, jamais aussi astiqué que depuis l’époque où quelques gamines habillées de noir nous livrent, avec crainte et tremblement et ténébreux regard saisi d’effroi, leurs précieuses introspections dans les univers solipsistes et profondément ennuyeux de quelques adolescents en mal de frissons, Eminem ici, Manson là (au moins, parler du vrai Manson aurait eu plus de panache), Cronenberg encore, platement réduit à quelque truismes pas mêmes lacaniens dans Gueules d’amour. Les proses blanches (alors qu’elles se rêvent noires) d’Isidora Pezard ne sont d’ailleurs pas les moins perverses puisqu’on parvient toutefois à y flairer, comme une pépite enfouie sous mille kilomètres de houille, l’intention de ne pas flouer son lecteur, d’être sincère, même si cette sincérité se mesure à quelques jets de gras sébum sur un miroir évidemment fêlé, accointance avec un démon de midinette oblige.

Il y a plus grave bien sûr que cet innocent jeu de marelle qu’on veut nous faire prendre pour une danse avec le diable. Il y a beaucoup plus grave, avec les textes de James et de Costes par exemple qui, étrangement, contre toute logique, sont défendus avec une hargne de molosse par Bruno Deniel-Laurent, au prix d’un aveuglement systématique et bien évidemment partial (l’amitié, me dira-t-on) sur la qualité littéraire minimale que l’on est en droit d’attendre d’une revue qui, ce n’est pas le moindre de ses mérites, n’a peur de rien et le proclame bien haut. Seulement, si l’intention est bonne, il faut au moins avoir quelque solide raison de gueuler, quelque plume pour laquelle, comme l’éditeur de Liquidation de Kertész, on ne craindrait pas de se damner… J’ai eu avec Bruno quelques mots suffisamment secs et explicites pour ne point me sentir obligé de lui rappeler que sa revue court tout droit vers un piteux déculottage et une danse faussement lascive dans quelque sous-cave glissante du Marais si, immédiatement, il ne reprend pas solidement en mains, d’une poigne de fer, au risque de mécontenter ses scatophiles plumitifs faussement montévidéens, les rênes d’un attelage qui n’a plus aucune cohérence malgré le centre exorbité (et le faible aimant) que constitue la défense légitime de Maurice G. Dantec. Pour filer ma métaphore, ces deux animaux écumants (des bœufs sans doute mais il s’agit peut-être d’ânes ou de porcs…) et leurs clones doivent être solidement entravés par le même joug contraignant, d’abord parce que, en bon célinien qu’ils ont oublié d’être, ces derniers ne devraient jamais perdre de vue que le style ordurier est un art qui ne supporte pas de dégazages systématiques (comme le savaient d’ailleurs un Sade et un Bataille) ou encore, comme le dit le Professeur Y quelque part, qu’il est bien difficile d’édifier une statue durable composée de caca, en bref…« chie pas juste qui veut ».

Qu’on ne me fasse pas dire ce que je n’ai jamais prétendu. Bien évidemment, je ne veux absolument pas d’une revue (d’autres existent) qui serait tout entière dédiée à des textes critiques, ma pente évidente (mais pas unique…), même si, sous les plumes de certains (Claude-Edmonde Magny, Harold Bloom, Georges Blin, Max Milner, etc.), des commentaires peuvent parfaitement acquérir, comme avait sans cesse raison de le rappeler T. S. Eliot, un statut d’œuvre à part entière ou, selon Michel Foucault, de langages seconds qui, en fait, nourrissent les œuvres premières, souvent élaborées dans des ténèbres que seul un texte réflexif peut tenter de dissiper modestement. Je me contenterai de rappeler que l’idée de ne pas paraître ridicule en évoquant ses règles blanches ou ses turgescences d’adolescent fiévreux (les bonhommes sont tout de même plus que trentenaires…) est somme toute éminemment moderne, alors que durant des siècles des générations entières d’auteurs n’ont jamais eu suffisamment d’humilité pour s’effacer devant l’œuvre commentée, que l’on songe aux innombrables textes anonymes du Moyen Age ainsi qu’aux hermétismes savants de la gnose, de l’alchimie ou de la Kabbale, et que dire de l’humilité d’un Kafka ou d’un Gadenne que son meilleur connaisseur, Didier Sarrou, me reprocha un jour de défendre avec trop de colère, sans vraiment m’effacer derrière l’œuvre admirable, presque transparente...

Peut-être cet homme érudit et simple avait-il raison, oui, mais cette colère me paraissait alors justifiée, comme elle me le semble encore, face à l’immense crétinerie de nos contemporains, à la crasse prétentieuse de tant d’universitaires mêmes qui ne savent pas qui est l’auteur des Hauts-Quartiers et qui, si on le leur apprenait, se moqueraient comme d’une guigne de le lire.

Voilà pourquoi il me semble plus qu’urgent, à vrai dire vital sauf s’il souhaite rapidement se métastaser et finalement crever (c’est parfois la tentation suicidaire de beaucoup de jeunes revues), que le barnum de Cancer ! décide si, oui ou non, il va une fois pour toutes privilégier la qualité et le travail – il est ainsi honteux de ne pas accorder plus de place à la prose de Sarah Vajda – et se débarrasser du prétendu talent rectal de certains fumistes qui, parfois, il faut le dire (je l’ai dit de James défendant Dantec), ne déméritent pas, justement quand ils cessent de sonder les gouffres mous d’une prétention pour le coup réellement abyssale.

De sa réponse dépend, plus que ma collaboration qui se fragilise on s’en doutera, la vie pleine et redoutable de Cancer ! plutôt que sa survie médiatiquement assistée sous la défroque d’une vieille putain maquillée que plus personne ne prend la peine de courtiser.

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07/04/2004

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03/03/2004

Sur Paul Gadenne et quelques hongres comme Philippe Sollers

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02/05/2025

Pèlerin parmi les ombres (Nécropole) de Boris Pahor, par Gregory Mion

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