20/08/2006
Angelus ex Machina, 2 : de la servitude volontaire
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31/07/2006
Cosmos Incorporated de Maurice G. Dantec (Angelus ex Machina, 1)
«Il est arrivé par l’Astroport International de Windsor, pour se rendre à Grande Jonction. Il est doté d’une technologie clandestine. Et il doit exécuter un homme» (34. Les pages entre parenthèses renvoient à l'édition d'Albin Michel).
Commençons : nous n'avons besoin de rien de plus que ces trois phrases concises, de science-fiction, il me semble inutile de l'indiquer. N'en déplaise d'ailleurs à Angelo Rinaldi qui affirme dans l'un de ses plus mauvais articles, avec une extraordinaire prétention et, ma foi, une sottise qui d'habitude l'épargne, ne pas aimer ce genre : «le recours à la science-fiction écrit-il ainsi, c'est déjà un signe de faillite chez un romancier». Pourquoi notre éminent critique littéraire se prive-t-il alors de citer quelque nom digne d'opprobre qu'il jetterait ainsi aux chiens pelés de l'orthodoxie littéraire ? Parce que monsieur Angelo Rinaldi, qui chaque semaine répète [il faut désormais employer le passé], du haut de son tabouret laqué, son numéro de caniche beuvien, n'en connaît tout simplement aucun, de ces écrivains qu'il méprise généreusement. Or, je veux bien pour ma part, que l'on me présente aujourd'hui, dans notre France à la littérature moribonde, je veux dire crevée, un écrivain, un seul, de la trempe d'un Dick, d'un Delany, d'un Herbert ou d'un Ballard, je dis bien un seul écrivain d'une dimension ne serait-ce que voisine de celle de ces auteurs (et combien d'autres !), afin que j'échange son roman le plus bâclé, pas même, la moindre de ses plus mauvaises lignes contre les productions tout entières, passées et à venir, d'une Nothomb, d'une Angot, d'un Zeller, d'une Millet (Catherine), d'un Jardin, d'un Sollers et, pourquoi pas, d'un Rinaldi. Et encore, comme je reste modéré et digne d'éloge... Car notez tout de même que j'évoque Rinaldi sans oser le mêler, de peur qu'immédiatement son fier patronyme ne s'invertèbre, à celui du liquéfide et amollifiant Assouline qui, sans honte à l'égard de Houellebecq (ou tout simplement de ses propres lecteurs), épand avec application son crachat de puceron [note indisponible] sur ses terres plantées de courges ! Mais passons car Olivier Noël, avec la sécheresse légiste qui convient à ce type de maigre dissection, à écrit ce qu'il fallait écrire sur l'inévitable farce médiatico- (j'ose à peine ajouter ce terme) littéraire qui décidément semble, pour ces gourmets que sont les journalistes, constituer l'ultime nectar, la graisse purulente d'une charogne qu'ils sucent avec délice. Chaque année. Durant la même période. Sans jamais se lasser. Ils sucent. Le même monceau répugnant de viscères dévidés. Chaque année. Ils se battent même pour racler le morceau le plus avarié de la bête lascive. Répétant les mêmes phrases qui sentent l'ammoniac. Voilà ce que baisent ces Goncourt aux langues empâtées de truismes, l'inamovible et lubrique charogne d'une catin mille fois prise : la littérature française, vieille bassine au fond marneux que grattent ces perpétuels nécessiteux.
Oui, passons décidément. Et tant pis pour l'évocation de la charogne, qui fit les délices d'un Baudelaire, d'un Heym ou d'un Benn.
Qu'en est-il des textes [recueillis dans ma Critique meurt jeune] que je vais publier dans les jours qui viennent ? Il ne s'agit non pas d'un article, à proprement parler, de critique, progressant dans la linéarité d’une écriture pliée à la contrainte d’une lecture qui se devait tout de même d’être logique, de suivre la voie aride de la concaténation, comme je l’écrivis pour Villa Vortex, le précédent roman de Dantec. Plutôt, ici, quelques courts textes ou divagations (il en va de l’errance dans ce mot) écrits au gré de ma lecture de Cosmos Incorporated, toutefois ordonnés autour de thématiques évidentes comme la liberté, la Machine ou encore la beauté. Certitude en somme que ce type de texte sans claire structure s’adapte mieux que d’autres, plus rigides, plus contraints, à la temporalité sinueuse, souvent réversive, de toute lecture mais surtout méfiance grandissante, je dois le dire, vis-à-vis de la démarche critique même, dont le but inavoué est de déplier ce qui était plié, à savoir le livre. Ici, dans les lignes qui vont suivre, je ne déplierai rien mais tenterai d’illustrer cette évidence naguère relevée par Don DeLillo dans L’Étoile de Ratner : «L’importance du message de l’étoile de Ratner, indépendamment du contenu, c’est qu’il nous dira quelque chose d’important sur nous-mêmes». Nul doute sur ce point dans mon esprit : à son tour, Cosmos Incorporated tente de nous mettre en garde en disant, sur nous et plus encore sur ce qui nous attend, quelque chose d’important, qu'il serait suicidaire d'ignorer et de mépriser, quoi que l'on pense par ailleurs de l'écrivain. Ce que nous faisons ; je veux dire : mépriser ce que nous dit Dantec, voilà bel et bien ce que nous faisons, les imbéciles confondant deux mépris, celui qu'ils témoignent à l'auteur et celui qu'ils réservent, le petit doigt levé, à ses écrits.
De Cosmos Incorporated, le pire des contresens serait d’affirmer qu’il ne ferait qu’obéir aux lois du genre, par exemple celles, plus que maîtrisées par l’écrivain, de la science-fiction. Bien évidemment, Cosmos Incorporated est une œuvre d’anticipation, même si je dois immédiatement ajouter que ce roman décrit moins un probable futur qu’un présent bien réel mais que nous ne savons pas voir, que nous refusons plutôt de voir. Que nous méprisons. S’il y a donc, dans ce livre, les habituels poncifs propres au polar – un tueur entouré, parfois secondé de belles et d'un certains nombre de trognes pour le moins torves qui tous se meuvent dans un univers crépusculaire – futuriste –, ce même tueur est une espèce améliorée d'humain qui doit exécuter le maire d’une ville abritant un immense spatioport –, c’est, comme le signe selon le philosophe, pour cacher et révéler. D’abord cacher au tueur et bien sûr, métaphoriquement, au lecteur, l’horrible vérité, le truquage du monde, sa sénescence accélérée, sa destruction perpétuelle, voire toute proche, définitive ; ensuite révéler que de ce monde même, dans ce monde même, réduit au triomphe d’une Machine qui se perpétue par sa propre nécessaire annihilation (en somme : une autophagie), la liberté n’a pu être totalement éradiquée.
De sorte que nul ne s’étonnera de constater que le roman de Dantec, une nouvelle fois mais, je crois, avec une intelligence plus vive des perspectives narratives telles qu’elles nous étaient exposées, parfois grossièrement, dans Villa Vortex, se trame, s’ourdit autour d’un centre secret ou plutôt absent (Dantec parle à plusieurs reprises de trou noir) puisque immanent, donné de toute éternité non seulement au héros tueur, Plotkine, mais aussi au monde entier et, tout autant, en guise d'énigme, au lecteur. Ainsi le secret dont nous parlons n’est-il pas celui qu’abrite des regards le Dôme de l’hôtel Laïka où s’est installé Plotkine, mais celui de la propre vérité du tueur qui n’est autre que… sa liberté, la liberté, je veux dire, la liberté première, essentielle, de la Création. À toutes fins utiles et pour lever toute ambiguïté, cette liberté ne peut être, dans l’esprit de Dantec, qu'angélique (Métatron est présenté comme l'Ange de la liberté par nombre de textes anciens), et divine, donnant non seulement le sentiment d’une radicale altérité mais aussi et d’abord : provenant de Dieu, fille aînée en somme de Celui-ci.
Non pas, donc, la possibilité d'une île mais bel et bien la possibilité d'un homme, la possibilité de l'homme, lequel, nous confirme Dantec après tant de ces mystiques qu'il a lus, qu'il ose lire, n'est pas une île.
Mais peut-être, ultime retournement, l'identification de Métatron à l'Ange de la libération est-elle elle-même illusoire si l'on se souvient que certains courants ésotériques présentent l'Ange comme mauvais, en tout cas rival de Dieu et des hommes.
Alors, l'Ange tutélaire ayant présidé à l'écriture de ce roman ne serait pas Métatron mais Raziel, celui du Secret.
Prochainement, suite de notre critique intitulée Angelus ex Machina, 2 : de la servitude volontaire. Ce texte ainsi que ceux qui vont suivre ont été recueillis dans La Critique meurt jeune.
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26/07/2006
A Scanner Darkly
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23/07/2006
Marcel Bozonnet en vacances sur la plage de Scheveningen
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22/07/2006
Raphaël Dargent et Sarah Vajda sur La Critique meurt jeune
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16/07/2006
Villa Vortex de Maurice G. Dantec
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12/07/2006
Sur une île, stalker, quels livres emporteriez-vous ?, 5
05/07/2006
Un splendide rapace dans la Zone : Strix Americanis prend son envol

Terminons en beauté la série des dialogues inaugurée (je ne parle pas d'ordre chronologique) par les questions de Vox Galliae.
Voici donc la suite de notre entretien, dont les premiers échanges ont été accueillis par Claude Marc Bourget sur le superbe site de sa revue, Strix Americanis. Je ne saurai bien évidemment occulter qu'en ce dernier texte, Claude Marc seul prend la parole, ne me la ravit pas mais au contraire me la laisse, me la donne : je n'ai rien à dire tout simplement parce que je crois partager les analyses de mon ami, y compris lorsqu'il démêle la fascination et la méfiance qu'implique l'existence d'un genre littéraire tel que celui de la science-fiction. Un point tout de même, concernant l'attitude de Michel Surya à l'égard de mon manuscrit sur la figure de Judas, afin de préciser à Claude Marc que je préfère encore, disons par pure faiblesse devant la beauté du chant des sirènes, même celles qui vantent la destruction désincarnante, que mon petit ouvrage sur l'apôtre félon soit publié plutôt qu'il ne dorme dans quelque recoin dématérialisé de mon disque dur. Car on ne triomphe de l'enfer nihiliste qu'en y descendant, cher Claude Marc. Lorsque l'entrée vous est refusée par quelque Cerbère malcommode qui vous renifle et vous toise comme si vous sortiez d'un défilé de nazillons...
Pour rappel.
Entretien n°5, avec Jugurta.
Entretien n°4, avec Fabrice Trochet.
Entretien n°3, avec Ygor Yanka.
Entretien n°2, avec Michel Lévy-Provençal.
Entretien n°1, avec Vox Galliae.
Claude Marc Bourget. — Cher Juan, je vous pose des questions comme à moi-même et vous adresse des échos du monde, des réflexes d’idée pris à un certain corps de civilisation, la nôtre, qui fut bien des choses aujourd’hui au mouroir, mais aussi la civilisation du livre, en cela fille de sa religion, d’ailleurs jusque dans ses hérésies. Si je m’enquière dudit livre auprès de vous, c’est avec cette manière qu’aurait son vieil esprit, à travers vous, moi, nous tous, de se cabrer devant les indices de sa catastrophe. Mais c’est d’abord par une sorte d’affinité dans la réaction. Ne faisons donc pas croire, vous et moi, que j’avocasse à la solde du livre et plaide en faveur de son empire inguérissable. STRIX AMERICANIS, cette tribune même d’où je vous parle, en est le formel et clair déni. Votre réponse en bourrasques, d’ailleurs, a soufflé jusqu’à la fin dans le sens de ses harangues, et même dans son droit fil quant au primat de l’oralité.
Déjà le livre, en effet, au temps de ses origines et sans doute éternellement dans les cœurs, fut l’accusé de la parole, la mauvaise incarnation du Verbe et comme sa gênante idole. L’écriture, ce cristal, dépossédait la mémoire naturelle, ce fluide, de son long cours, c’est-à-dire de sa propre continuité, déséduquait l’esprit comme unique véhicule du Verbe, vase vivant où il est versé et qui le verse. L’accusation n’est pas fausse et les événements la soutiennent jusqu’à nous, aujourd’hui que les livres, plus nombreux que les hommes, nous dépossèdent et nous déséduquent, mais elle est constitutive d’une autre accusation, plus tragique, celle du Mal originel, outrance de nos capacités et de notre liberté. La distance, de mon point de vue, entre le signe-écran et le signe-papier, est dérisoire au regard de l’appartenance de ce couple, sinon de toute la dynastie médiatique, au mystère du Mal originel. La littérature a vécu sous son autorité. Elle en est la chose. Mais il est bien tard pour nous interdire de l’accomplir. Au surplus, hors les greffes d’une vie surnaturelle, nous n’y avons point de remède. Reste que, tout s’intensifiant, le Net va plus loin dans la permission du paroxysme et de l’hystérie. Or, dans les extremums d’un phénomène, là gît le secret, nous arrivent toujours comme des îlots de renversement, comme de clairs points de santé dans les tréfonds de la mort. Le bien peut ainsi sortir de nos fautes mêmes. Aussi les plus abominables guerres donnent-elles lieu à de mystérieuses retrouvailles, à des tranchées nouvelles, creusées dans l’homme en soi (j’allais dire en nous) et qui portent leur ration d’assainissement.
Revenons à la science-fiction. Deux mots sur elle. Je n’en attaque ni le genre, demeuré assez pur dans l’ensemble, peut-être du fait même de son isolement, ni les captivants chef-d’œuvres, souvent écrits dans une langue qui ne se montre pas, restée fort anglo-saxonne à ce chapitre, du moins en pays français, et dont la vertu, en l’espèce, est de tout laisser, par une sorte de transparence, à l’invention ou à l’extension du fait, aux matérialisations de l’hypothèse, à la théâtralisation d’un jeu précis d’axiomes et de prémisses. Elle est un dispositif irremplaçable de projections et qui autorise de fort sérieux usages. Vous me permettrez de rendre ce jugement tout en ayant raté tel ou tel summum et de comprendre la montage dès la mi-hauteur, sans besoin de danser sur la cime ni d’y ajouter mon escabeau. Mais vous me permettrez en second lieu d’observer que la science-fiction, si elle sait inspirer, aspire également à elle, accapare, absorbe, par sa séduction propre, où le vertige n’a pas la plus mince part, une catégorie de lecteurs et d’esprits qui, souvent novices et que n’a pas encore rattrapé la terre, s’abandonnent à son irréalité, comme aux jouissances psychotropes d’une mathématique inapplicable. De l’engin de démonstration qu’elle sait être, qui nous permet d’obtenir, par les raccourcis de l’art, des vues-chocs, sous des angles hier improbables, sur les cieux et les enfers de l’être, au reste occidental et prométhéen, elle passe alors du côté de l’aide au déracinement, du désincarnant, de tout ce qui de son éther cherche à remplir le vide. Son influence, son attraction est alors funeste et tyrannise l’esprit comme un vice. Nous croyons alors qu’auprès d’elle nos gestes et nos pensées se libèrent, alors qu’à la vérité, simplement, elle nous agite et les agite. Voilà ce que je pointais en parlant d’une «pensée science-fictionnelle accablée de lectures et finalement adolescente». La science-fiction, dans cette optique, est bel et bien l’une des configurations paroxystiques de la littérature moderne. Je crois même que le siècle est proche où nous serons inaptes à écrire autre chose. Mais alors nous parlerons de sa triviale impureté.
Je terminerais, comme vous, avec Surya, Michel. Or c’est pour vous dire qu’il a eu raison. Nous n’en sommes plus, aujourd’hui, à une simple guerre des thèmes et des styles, où la beauté supérieure servait de colombe. L’ultime bifurcation s’opère, et le temps vient des durs aiguillages. Mais souvent, comme ici, nos antagonistes nous regardent et nous jaugent mieux que nous le saurions faire nous-mêmes. Surtout, ils nous éclaircissent d’instinct, à distance, dès nos simples contours et la démarche, la cadence propre à notre monture. Vous si vivant, telle une surprise, derrière les mots cathodiques, vous chez qui l’on perçoit tant d’enracinement entêté sous les fleurs en bouquet et vitrine, tant de résistance pour un peu d’abdication, tant de désobéissance, en un mot, à la loi des enfers nihilistes, y eussiez-vous donc vraiment fait descendre votre Iscariote ? L’auriez-vous donc livré à ce milliardième désabusé, ce chaînon immanquable de la pègre éternelle des revenus de tout, toujours abattus dans leur mare de petit sang ? Sans doute, mais avec regret. Surya, comme toute cette sempiternelle école du désillusionnisme, réécrit pour son compte ces hymnes au néant, ces hymnes au cancer intellectuel dont nous sommes ennuagés depuis un siècle et qui, sous apparence de constatation lucide, de bilan hautain, au bout duquel il faut réinventer le pire, ne sont que les plus vieux poisons du cœur soufflés sur l’avenir, les recettes déjà trop suivies d’un régime de désespoir, les règles maudites de ce que j’appellerais un art de la maladie. Surya, qui n’est pas désagréable ni mesquin dans sa lettre, au contraire, ni par ailleurs un imbécile, n’est dans l’erreur qu’avec son goût extrême pour cet art, et donc en ce qui le concerne, lui. Il ne s’est pas trompé dans votre cas. Il est bon éditeur, et le prouve, d’avoir laissé à d’autres votre Iscariote.
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03/07/2006
Les voies du Stalker, 5 : entretien avec Yacim Bensalem (Jugurta)
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01/07/2006
Sur une île, stalker, quels livres emporteriez-vous ?, 4

28/06/2006
Rannoch Moor de Renaud Camus
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26/06/2006
Exercice camusien sur La Revue du cinéma, n°2
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23/06/2006
Les voies du Stalker, 4 : Fabrice Trochet pour Un grain de sable
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13/06/2006
Le Mahatma Pierre-Emmanuel Dauzat
11/06/2006
Deux revues de combat : Controverses et Jibrile



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08/06/2006
Les voies du Stalker, 3 : L'Éphémère chinois
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07/06/2006
Entretien sur Léon Bloy avec Pierre Glaudes, suite
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02/06/2006
Lettre sur Benjamin Fondane, par Daniel Cohen
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27/05/2006
Marc-Édouard Nabe le si peu bloyen + Entretien avec Pierre Glaudes
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25/05/2006
Les voies du Stalker, 2 : entretien avec Michel Lévy-Provençal (Mikiane)
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23/05/2006
Les voies du Stalker, 1 : Vox Galliae
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20/05/2006
Patrick Kéchichian, pamphlétaire ouaté
16/05/2006
Un éloge et une détestation : gratuité et maljournalisme
14/05/2006
Un faubourg de Toulouse de Raymond Abellio
08/05/2006
Philippe Sollers, le doge de la bêtise
26/04/2006
Strix Americanis chasse dans la Zone... en vol serré
22/04/2006
Ici et là-bas, toujours, le diable
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18/04/2006
La cinquième tête de Cerbère de Gene Wolfe
14/04/2006
L’Ensorcelée de Jules Barbey d’Aurevilly, par Germain Souchet
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