04/10/2009
Le bal des dégueulasses
06/06/2009
La Zone dans la Zone
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30/05/2009
De l'anarchisme considéré comme déchéance de la raison : sur Julien Coupat, par Francis Moury
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20/04/2009
Le crétinisme, stade suprême du socialisme français ?, par Germain Souchet

«La dictature, c’est ferme ta gueule.
La démocratie, c’est cause toujours…»
Coluche.
On pourrait ajouter : «La démocratie participative, c’est la même chose, en pire».
Remise en une d'un article de Germain Souchet publié en avril 2007, où l'on constate que rien, strictement rien n'a changé au sein des rangs de la gauche la plus stupide de l'univers, si tant est que celui-ci se préoccupe de politique (ce mot, bien sûr, n'est pas applicable aux socialistes)...
J'ajoute, bien évidemment, que la France est en droit de demander pardon au monde entier pour les propos consternants et stupides tenus par ses dirigeants socialistes, dont la plus ridicule est sans aucun doute possible l'inénarrable Ségolène Royal.
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25/02/2009
Florilège (horriblement) orienté, voire (visiblement) réactionnaire
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27/11/2008
L’Archiconfrérie de la Bonne Mort de Léon Bloy, par Émile Van Balberghe

Remise en une d'un article initialement paru le 28 avril 2007, à l'occasion de l'audience de Jean-Marc Rouillan qui se déroulera aujourd'hui même. Je me permets de renvoyer mes lecteurs, afin qu'ils se fassent une idée (espérons qu'elle soit la plus juste possible) des tenants politiques et surtout moraux de cette affaire lamentable, vers deux sites, d'abord celui de la revue Marginales, qui a mis en ligne une pétition (Parole en cage) demandant la libération immédiate et bien évidemment sans conditions de Jean-Marc Rouillan, ensuite celui d'une autre pétition intitulée Les mots en marche soutenue par le mensuel CQFD.
25/11/2008
D'un silence assourdissant : sur l'assassinat d'Anne-Lorraine Schmitt
«Hommes d'aujourd'hui, savons-nous aimer les femmes, saurions-nous les pleurer ?».
Guy Dupré, La sonnerie aux mortes in Je dis nous (La Table ronde, 2007), p. 49.
«Mes chers amis, ne vous vengez pas vous-mêmes, mais laissez agir la colère de Dieu, car l'Écriture déclare : «C'est moi qui tirerai vengeance, c'est moi qui paierai de retour» dit le Seigneur.»
Épître aux Romains, 12, 19.
«Mais enfin pourquoi aurais-je gardé un cœur pur, lavant mes mains en l'innocence ?».
Psaumes, 73, 13.
14/10/2008
Les Infréquentables deviennent un livre

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06/10/2008
Le maljournalisme à la française : une année au Celsa
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06/09/2008
Pierre Assouline, analphabète et illettré
31/08/2008
Ils étaient dix, par Pierre Damiens

«La parole, qui trop souvent n’est qu’un mot pour l’homme de haute politique, devient un fait terrible pour l’homme d’armes; ce que l’un dit légèrement ou avec perfidie, l’autre l’écrit sur la poussière avec son sang, et c’est pour cela qu’il est honoré de tous, par dessus tous, et beaucoup doivent baisser les yeux devant lui.»
Alfred de Vigny, Servitude et grandeur militaires (1835).
Ils étaient dix…
Ils étaient dix… soldats de France, jeunes recrues et vieux briscards, compagnons d’armes et d’infortune, pour l’aventure ou pour la gloire, pour l’amitié qui relie les hommes, lorsque l’adversité, le doute, la fatigue et parfois la peur rendent la solitude encore plus insupportable, cette solidarité qui naît au feu et que le «péquin» ne connaît pas.
«Heureux ceux qui sont morts dans une juste guerre…». Mais cette guerre est-elle juste ? Et puis, est-ce si important d’être heureux quand on meurt ? En a-t-on vraiment le temps ? Que la guerre soit juste n’est de toute façon pas l’affaire du soldat. Lui se doit seulement de faire de la manière la plus juste toutes les guerres qu’on lui ordonne de livrer. Mais s’agit-il bien d’une guerre ? Ou bien l’a-t-on seulement dépêché aux confins de l’Afghanistan, cette terre dure qui a engendré les plus farouches des hommes, comme victime expiatoire des péchés des autres ?
10/08/2008
François Rastier ou Toto à Auschwitz
18/07/2008
Nathalie Ménigon, pas franchement sainte mais relapse
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20/06/2008
Un peu de langue pour prier : réponse à Dominique Autié

«Oreilles closes, j'entends au-delà du déferlement des mots la muette mise à mort du Verbe.»
Armand Robin, La Fausse parole.
«Il y a des gens qui font la critique de l’Himalaya caillou par caillou. L’Etna flamboie et bave, jette dehors sa lueur, sa colère, sa lave et sa cendre; ils prennent un trébuchet, et pèsent cette cendre pincée par pincée [...].»
Victor Hugo, William Shakespeare.
Au commencement de ce dialogue :
Toile infra-verbale.
Un peu de langue pour prier, réponse de Dominique Autié, auquel le texte ci-dessous fait, donc, suite...
Voici une ancienne note, réponse parfois gentiment amusée (j'ai ainsi conservé l'illustration d'origine) à un beau texte (comme presque toutes les fois qu'il publie sur son blog, l'habitude est désormais prise, exaltante pour ses lecteurs...) de Dominique Autié.
Je ne l'ai bien sûr absolument pas modifiée, y compris dans un passage qui pourra se révéler désagréable à l'égard d'Alina Reyes, que je n'ai guère ménagée dans la Zone. Qu'elle ne me tienne donc point rigueur, si elle me lit, de ces vieilles phrases.
Reste que par son sujet, ce texte peut sans nul doute servir de base de réflexion véritable (et non point superficielle) à la question qui semble faire frémir tous les journalistes de France à peu près normalement constitués, à savoir, le phénomène des blogs, singulièrement celui des blogs dits littéraires.
À tout le moins, ce texte prolongera fort aisément l'article hélas parfaitement insignifiant et plus que vague (mais, comme ils disent, sympathique) d'Anthony Palou récemment paru dans Le Figaro Magazine, qui n'évoque la Zone que par le petit bout de la lorgnette.
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19/05/2008
Brûler la sorcière, par Jean-Gérard Lapacherie


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06/05/2008
De la peur que certains éprouvent face à une société multiraciale (réponse à Pierre Damiens), par Jean-François Foulon

Suite à l’article de Pierre Damiens sur Césaire et le recyclage de la négritude que l’on a pu lire ici même, j’avais vivement réagi sur mon propre site. Il s’en est suivi un échange de commentaires dans lesquels l’auteur de l’article a précisé sa position et l’a affinée. Nous sommes finalement tombés d’accord sur un certain nombre de points, mais derrière ce consensus, a surgi un autre désaccord plus fondamental encore. C’est de tout ceci que je voudrais parler ici, en retraçant l’évolution de la pensée des deux camps.
Tout d’abord, en lisant l’article que vous consacrez à Césaire, je me suis dit que vous dénigriez un peu vite le combat mené par ce poète martiniquais. En fait, non seulement vous lui reprochez de n’avoir pas été très original là où il a tenté de faire quelque chose, mais surtout vous regrettez qu’il n’ait pas eu l’audace de pousser son combat jusqu’au bout. Surtout, vous vous servez du consensus actuel sur la mort de Césaire pour ramer à contre courant, ce qui n’est pas forcément une mauvaise chose en soi, pour autant cependant que le but ultime de votre raisonnement ne soit pas de revendiquer une société où les races ne se mélangeraient pas, ce qu’idéologiquement on ne pourrait tolérer.
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05/05/2008
Histoire pour les nuls ou catéchisme pour les cons, par Pierre Damiens

La déclaration d’amour de Nicolas Sarkozy pour Angela Merkel nous amène à nous interroger sur la problématique de la relation franco-allemande dans une perspective historique. À ce sujet, l’Histoire et la mémoire ont été le théâtre d’affrontements idéologiques, lequel a été déserté par les historiens, cette espèce aujourd’hui disparue, mais est occupé depuis par les politiciens, les organisations d’anciens combattants, de résistants, de déportés, et autres associations à but lucratif… Le chaotique vingtième siècle, avec ses guerres, ses carnages, ses révolutions en cascade, est bien entendu la période de prédilection de nos mentors.
Hélas, à force de torturer les faits historiques pour leur faire avouer des vérités politiquement accommodantes et édifiantes, nos braves petits profs, nos chers médias, nos directeurs de conscience télévisuels nous dictent une leçon qui tient parfois de la faribole. Mais qu’on ne s’avise surtout pas de renâcler, d’objecter, de douter seulement, ou ce sera le tribunal, le gnouf et le déclassement social.
À l’intention des âmes perdues qui seraient tentées de s’écarter du dogme, je rappelle les fondements du catéchisme républicain.
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03/05/2008
Traçabilité (de la carne) du porc

À DecereBrain.
Unique sentence d'un consanguin, miraculeusement sauvée des eaux (plus précisément, d'un lit bactérien de station d'épuration).
«Son activité porte principalement sur le droit de l'informatique et de la communication électronique, le droit de la propriété intellectuelle, la protection des données à caractère personnel, et de manière générale sur le droit des contrats et le contentieux commercial.»
Brève présentation de Koozil, avocat de sa profession.
«Il y a vraiment un boulot destructif, négatif, à accomplir. Casser. Détruire. Plus de hype, plus d'artistes, de designers, plus de DJ'S, plus de concept-stores, plus de magazines, plus de radios, plus de TV, plus de pétasses, plus de dandies, plus d'art, plus de politiques, plus de bobos, plus de crevards, plus de pubs, plus d'écrivains, plus de cinéma, plus de porno, plus de logos, plus de no logo, plus même à la fin de Casseurs, ni d'Internet, assez de toutes ces conneries. Plus rien. NADA.»
Mémoires anonymes d'un singe de laboratoire, ayant ajouté, de sa propre main, à la suite de ce passage : «Plus de Thierry Théolier.»
01/05/2008
Salade freudienne, par René Pommier
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21/04/2008
Du recyclage de la négritude, par Pierre Damiens

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27/03/2008
Maljournalisme 6 : fin, par Jean-Pierre Tailleur
07/03/2008
Maljournalisme 5 : à travers le miroir, par Jean-Pierre Tailleur
27/02/2008
Maljournalisme, 4, par Jean-Pierre Tailleur, précédé d'une leçon de journalisme, par Dominique Mouton du Parisien
21/02/2008
Maljournalisme, 3, par Jean-Pierre Tailleur
18/02/2008
Maljournalisme, 2, par Jean-Pierre Tailleur
06/02/2008
Georges Bernanos, l'oublié de Plon

04/02/2008
Maljournalisme, 1, par Jean-Pierre Tailleur
27/11/2007
Bellum civile ou Civil War in France : intégralité des textes
16/11/2007
Arbeit macht frei

«Quand Tamerlan, prenant des corps d’hommes vivants et des quartiers de roches, des têtes d’hommes et des pierres, les entassait pêle-mêle pour en bâtir des murailles, il faisait une action parfaitement claire : on construisait un mur avec des corps et des têtes d’hommes et on entend encore, comme s’ils avaient traversé les siècles, les craquements de ces corps et ces têtes qui se brisent; il semble que ces craquements d’os et ces cris d’hommes aient creusé des failles dans l’air devenu solide, et que le vent, quand il passe sur ces failles, fasse retentir à nouveau ces craquements et ces gémissements. Voilà un crime qui subsiste à jamais, clair et sans équivoque.
Les atrocités nazies en revanche semblent faites en passant : précisément comme si des appareils les avaient commises, qui pourraient tout aussi bien produire autre chose : en cet instant, l’appareil est mis sur crime, l’instant suivant, il le sera sur bien-être, ou sur un concert de Bach ou sur l’éducation des enfants; ce sont des atrocités faites comme par jeu ou pour une expérience. C’est pourquoi elles sont si variées, non pas variées comme la nature, mais variées à la façon des expériences; on varie les expériences en matière de cruautés. Tout cela n’est si monstrueux que parce que ce n’est pas à la mesure de l’homme, mais à la mesure de l’appareil, lequel est sans mesure et sans limites.»
Max Picard, L’homme du néant [1945] (traduit de l’allemand par Jean Rousset, Neuchâtel, éditions de la Baconnière, 1946), p. 51.