27/01/2010
Le genou de Claire d'Éric Rohmer, par Francis Moury

21/01/2010
Ma nuit chez Maud d'Éric Rohmer, par Francis Moury

11/01/2010
La boulangère de Monceau et La carrière de Suzanne d’Éric Rohmer, par Francis Moury

04/01/2010
Le Romantisme allemand de Douglas Sirk, par Francis Moury

15/12/2009
Surréalisme et réalisme dans le nouveau triptyque d’Alexandre Mathis, par Francis Moury
15/11/2009
Nosferatu le vampire, par Francis Moury

06/11/2009
Le structuralisme sans son magicien, par Francis Moury

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27/10/2009
Cinéma et télévision ontologiques selon Roberto Rossellini, par Francis Moury

18/10/2009
Danse macabre d’Antonio Margheriti, par Francis Moury

09/10/2009
Edgar Allan Poe dans la Zone
12/09/2009
Le Coup de l’escalier de Robert Wise, par Francis Moury

25/08/2009
Le Golem de Paul Wegener et Carl Boese, par Francis Moury

18/07/2009
Les deux visages du Dr. Jekyll de Terence Fisher, par Francis Moury
16/05/2009
Le dernier travail de Platon, par Francis Moury

05/04/2009
Peut-on moraliser le capitalisme ? Brèves notes critiques sur les réponses de Nicolas Tenzer et André Comte-Sponville, par Francis Moury

Modeste et paradoxale contribution à une moralisation du capitalisme, ici.
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18/03/2009
D’une nouvelle position des vieux problèmes, par Francis Moury

15/02/2009
La vie et la mort du système de G. W. F. Hegel, par Francis Moury
10/01/2009
Antoine de Baecque et l’ontologie historiale du cinéma, par Francis Moury
29/12/2008
Gerbert d’Aurillac, héritier de Boèce, an 1000, par Francis Moury

Notes critiques, philosophiques et historiques sur Gerbert d’Aurillac, Correspondance (texte latin introduit, édité, annoté, et traduit en français, avec tables de concordances et cartes, par Pierre Riché et Jean-Pierre Callu, nouvelle édition Les Belles Lettres, coll. Les Classiques de l’histoire [de France] au Moyen Âge fondés par Louis Halphen, 2008).
«Les gens cultivés le savent, les incultes souvent s’en sont étonnés : une vertueuse alliance, une sainte amitié, quand elles ont bien commencé et qu’elles sont mieux encore entretenues, sont causes de grands biens. Et parce que la cause de ces biens est bonne, il est nécessaire que soit également un bien ce qui en est le produit. En effet, d’où vient la stabilité des familles, des cités et des royaumes, si ce n’est de l’alliance et de l’amitié ? Est-il autre chose pour avoir, loin des chemins, attiré les mortels au désert, sinon l’alliance avec Dieu ? Le monde, lui-même, sous l’action de la Puissance qui est lui est opposée, est tantôt en désaccord, tantôt en concorde amicale avec elle. Cette même union lie dans l’homme le corporel à l’incorporel.»
Gerbert d’Aurillac, Correspondance, Annexe I, Lettre n°217 à Wilderod, op. cit., supra, p. 583.
22/12/2008
Les deux visages de Périclès, par Francis Moury

Sur le livre de Donald Kagan, Périclès. La naissance de la démocratie [1991] (traduction française par G. Villeneuve, éditions Taillandier, coll. Biographies, 2008.)

Thucydide, Guerre du Péloponnèse, Livre II, § XLI extrait du Discours de Périclès aux funérailles des Athéniens tués pendant la première année de la guerre (arguments, texte grec, traduction littéraire et traduction juxtalinéaire, notes par M. Sommer, éd. Hachette, coll. Les auteurs grecs expliqués d’après une méthode nouvelle par deux traductions françaises, 1873), pp. 126-128.
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13/12/2008
Meurtres sous contrôle de Larry Cohen, par Francis Moury
02/12/2008
Lord of the Flies de Peter Brook, par Francis Moury

Heart of darkness de Joseph Conrad est l'une des sources les plus évidentes du roman de William Golding.
Fiche technique succincte
Réalisation : Peter Brook
Production : British Lion Corp. (Dana Hodgdon, Gerald Feil, Lewis Allen)
Scénario : Peter Brook, 1963, d’après le roman de William Golding, Lord of the Flies (1953)
Directeur de la photographie : Gerald Feil, Tom Hollyman
Montage : Gerald Feil, Jean-Claude Lubtchansky, Peter Brook
Musique : Raymond Leppard
Casting succinct
James Aubrey, Tom Chapin, Hugh Edwards, Roger Elwin, Tom Gaman, etc.
Résumé du scénario
Durant la Seconde Guerre mondiale, un avion évacuant des enfants anglais vers l’Australie s’écrase sur une île déserte perdue dans l’océan Pacifique. Certains survivants tentent de maintenir les lois de la civilisation mais les autres régressent inexorablement au stade le plus archaïque des sociétés primitives.
14/11/2008
Les Vierges de Satan de Terence Fisher, par Francis Moury
26/10/2008
La chambre des tortures de Roger Corman, par Francis Moury
01/10/2008
Les Envoûtés de John Schlesinger, par Francis Moury
30/08/2008
L’Ange de la vengeance : Ferrara ou le cauchemar de Thana, par Francis Moury
15/08/2008
La Faille de Gregory Hoblit, par Francis Moury

Fiche technique succincte
Mise en scène : Gregory Hoblit
Prod. : Charles Weinstock (New Line Cinema, Castle Rock Entertainement, Weinstock Prod., M7 Filmproduktion)
Scénario : Daniel Pyne et Glenn Gers d’après une histoire originale de Daniel Pyne
Directeur de la photo : Kramer Morgenthau
Montage : David Rosenbloom
Mus. : Mychael et Jeff Danna
Casting succinct
Anthony Hopkins (Ted Crawford), Embeth Davidtz (femme adultère de Crawford), Billy Burke (inspecteur Nunally), Ryan Gosling (procureur adjoint Willy Beachum), Rosamund Pike (Nikky), David Strathairn (procureur), etc.
Résumé du scénario
Le riche industriel Ted Crawford, un magnat de l’aéronautique, pense s’être vengé de son épouse, et de l’amant de celle-ci qui est un inspecteur de police, en commettant un crime parfait… qui échoue pourtant. Un jeune procureur adjoint, Willy Beachum, suppose le faire aisément inculper pour tentative de meurtre. Il a tort : Crawford ressort libre du tribunal, provoque le suicide du policier mis en cause et parachève le meurtre de son épouse. Alors seulement Beachum mesure à quel point Crawford l’a manipulé et quel danger il représente…
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05/04/2008
Le Spleen de Néris-les-Bains, petites pensées en prose, par Francis Moury

Cher Juan.
Malhabilement, je tente d'écrire dans le noir — simplement éclairé par la lueur blafarde de mon écran portable dont je manipule le clavier avec moins d'aisance que celui de mon ancien ordinateur fixe qu'il me tarde de réutiliser — depuis ma fenêtre donnant sur la place solitaire et obscure, à cette heure déjà tardive de la nuit, du casino de Néris-les-Bains, mes impressions, suite à ma lecture de ta très belle critique du texte de E. A. Poe.
C'est une de tes plus belles critiques, portées par une suggestion pointue de Boutang concernant, en effet, l'idée d'un temps sans faille, réconcilié, in illo tempore auquel s'oppose de toute évidence le temps non-réconcilié de la conscience morbide puis d'un univers devenu lui-même morbide. Conscience et maladie ne sont jamais très éloignées chez Poe : elle entretiennent un rapport dialectique. Celui qui l'a le mieux montré est sans doute Gordon Hessler dans le plan final du génial The Oblong Box [Le Cercueil vivant] qu'il tourna vers 1970 : davantage qu'une adaptation, il s'agissait d'une amplification démentielle portant à l'incandescence certains des thèmes les plus authentiquement fantastiques du conteur de Baltimore si passionnément psychanalysé par Marie Bonaparte !
Il y a une conscience de la vie et une conscience de la mort chez lui, comme il y a en psychanalyse une pulsion de mort et une pulsion de vie. La nostalgie de l'être (Ferdinand Alquié), celle du Paradis perdu dans la mythologie primitive (Mircéa Eliade et tant d'autres) sont «le classique» de la position. La désolation, la ruine sensible de leur aperception, sont «la modernité» de la contre-position. La synthèse est une curieuse «anti-folie» pour reprendre le terme utilisé par Paul-Hervé Mathis dans son article déjà ancien mais filmographiquement remarquable paru sur Edgar Poe dans un beau numéro de la revue Écran de 1977 qui comportait une image du Corbeau de Corman en couverture. Il faut lire aussi la section Corman du très bel article de Lise Frenkel sur Cinéma et psychanalyse paru vers 1971, article d'ailleurs commenté trop vite par Jean-Marie Sabatier dans ses beaux Classiques du cinéma fantastique (éditions Balland, 1973).
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