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09/12/2014
Gregory Mion dans la Zone
L'une de mes plus grandes fiertés, peut-être même la seule, réside dans le fait que, dès sa création, la Zone a attiré un certain nombre d'excellentes plumes, qu'il s'agisse du regretté Dominique Autié, de Francis Moury, de Baptiste Rappin ou encore de Jean-Luc Evard.
Gregory Mion, précis, méticuleux, bon (et ample) lecteur qui semble hanté par la question du Mal, est l'une d'entre elles, comme le prouve suffisamment le rappel de toutes les notes qu'il a écrites pour ce blog.
La Maison aux sept pignons, une contribution de Nathaniel Hawthorne à la littérature fantastique.
Essai de caractérisation du cinéma de Michael Haneke : conjectures sur le Mal.
Sagesses et folies de Don Quichotte.
Premières lueurs d’abîme : Benjamin Whitmer et Donald Ray Pollock.
Don DeLillo et l’expérience hérétique de la littérature : une lecture de L’étoile de Ratner.
Les États généraux de la violence.
L’Exorciste de William Friedkin : la densité du Mal.
Tragédies en Alaska : Sukkwan Island et Désolations de David Vann.
Raskolnikov, une ombre de surhumanité sous le soleil de Saint-Pétersbourg.
Howard McCord : le littéral au bout de la langue.
Le guetteur halluciné de Geneviève Roch.
Le chef-d’œuvre de Jaume Cabré : Confiteor.
Thèse sur un homicide de Diego Paszkowski.
Docteur Sleep de Stephen King, précédé d’un exposé sur les modalités de l’horreur dans son œuvre.
L’image de cinéma chez Deleuze : sa nature et ses vertus.
2666 de Roberto Bolaño,1 : au bord du précipice et du monstre romanesque, par Gregory Mion.
2666 de Roberto Bolaño, 2 : du mystère de l’homme à l’intuition de Dieu.
2666 de Roberto Bolaño, 3 : hommes sans qualités et femmes sans destin.
2666 de Roberto Bolaño, 4 : la nécrologie d'un inframonde.
2666 de Roberto Bolaño, 5 : les origines de la littérature «monstrueuse».
Ces cinq notes ont été regroupées dans celle-ci, recensant tous les articles consacrés à 2666.
Río Negro de Mariano Quirós : un hymne pour Héraclite.
Le naturel littéraire selon Paul Auster.
La philosophie du paysage chez Wim Wenders.
Joseph Conrad et l’attraction des ténèbres : sur les ruines de Kurtz.
In memoriam : Anna Karénine, sublime au-dessus des hommes.
Le musée des monstres de Mike Kasprzak.
Requiem pour Emma Bovary et Gustave Flaubert.
Autour d'Auschwitz.
Ion de Platon : le divin rayon de la philosophie.
Calibre 45 de Martín Malharro : un aperçu du Pandémonium.
Le bruit et la fureur de William Faulkner.
Gagneuses de François Esperet, ou la poétique de la délivrance.
Le livre de ma mère d'Albert Cohen : une stèle pour l’éternité.
Kant et le problème de l’éducation : suggestions pour l’édification d’un homme moral.
L’Amérique en guerre (1) : À propos de courage, le Vietnam de Tim O’Brien.
L’Amérique en guerre (2) : l’Irak de Phil Klay dans Fin de mission.
Elephant man de Frederick Treves, ou la surhumanité du monstre.
La Horde du Contrevent d’Alain Damasio : une apologie du vivant, du mouvement et de la créativité.
L’Amérique en guerre (3) : Chronique des jours de cendre de Louise Caron.
Les Grandes Espérances de Charles Dickens : la contrariété de devenir un homme.
J’étais la terreur de Benjamin Berton : l’autre djihad de Chérif Kouachi.
Les loups à leur porte de Jérémy Fel.
L'Amérique en guerre (4) : La peau de Curzio Malaparte, che vergogna !
Introduction à John Dewey de Joëlle Zask : l’exigence d’un supplément démocratique.
La conquête du bonheur de Bertrand Russell : sur quelques raisons de croire aux gens heureux.
Henry Darger, juge des adultes et génie des enfants.
Marien Defalvard, un mémorial.
La Côte sauvage de Jean-René Huguenin.
L’Amérique en guerre (5) : Compagnie K de William March.
Le destin extraordinaire du philosophe Amo : celui qui tient en respect tous les racismes et tous les médiocres.
Philosophie animale (1) : l’animal qui me regarde et qui me somme d’en faire autant.
2666 de Roberto Bolaño au théâtre Goodman de Chicago.
Un entretien avec Seth Bockley, metteur en scène de 2666 de Roberto Bolaño au théâtre Goodman de Chicago.
An interview with Seth Bockley, director of Roberto Bolaño's 2666 at the Goodman Theatre of Chicago.
Sangs d’emprunt de François Esperet : sucs poétiques et artères scabreuses.
Le Jour de l’effondrement de Michèle Astrud.
L'Amérique en guerre (6) : Jack Kerouac de guerre lasse.
L'insécurité culturelle de Laurent Bouvet.
Les racines du mal de Maurice G. Dantec : l’implantation du Diable et le défrichement de Dieu.
Laëtitia ou la fin des hommes d’Ivan Jablonka.
La petite barbare d’Astrid Manfredi : un petit pet dans la nuit littéraire.
2666 de Roberto Bolaño adapté au théâtre par Julien Gosselin.
Montaigne de Stefan Zweig : histoire d’une lointaine fraternité.
Littérature et critique : de l’exigence de Jean-Paul Sartre à la déchéance actuelle, 1.
Littérature et critique : de l’exigence de Jean-Paul Sartre à la déchéance actuelle, 2.
La fraternité de nos ruines de David Rousset.
11 ans de Jean-Baptiste Aubert : l’éternité à vue d’œil.
Profession de foi du vicaire savoyard de Jean-Jacques Rousseau : comment connaître Dieu par cœur.
L'Amérique en guerre (7) : Sartoris de William Faulkner.
Apostille à La montagne morte de la vie de Michel Bernanos : chemin vers l’inorganique.
Et quelquefois j’ai comme une grande idée de Ken Kesey.
Enseigner la Shoah de Didier Durmarque.
Les Sommets du monde de Pierre Mari : lorsque le coq chante comme un cygne.
Lolita de Vladimir Nabokov : la liquidation du pédophile par la littérature.
L’État chez les Grecs de Friedrich Nietzsche ou le certificat de décès de la modernité.
Le Troisième Reich de Roberto Bolaño.
Vilnius Poker de Ričardas Gavelis : la faillite abominable de l’humanité soviétiforme.
L'Argent de Charles Péguy.
La dimension infinie du secret dans Lord Jim : Joseph Conrad à la lumière de Pierre Boutang.
Baleine de Paul Gadenne : prestance de la charogne et mélancolie du bourgeois.
Le martyre ascensionnel de l’Afrique : la terre de tous les supplices et de tous les trésors.
Et si je suis désespéré, que voulez-vous que j’y fasse ? de Günther Anders.
Au théâtre : les Vies de Papier de Benoit Faivre et Tommy Laszlo.
Karl Kraus de Walter Benjamin : pour saluer le franc-tireur de Vienne.
Jean de La Bruyère et la ville : je t’aime… moi non plus.
La Nuit Unique du Théâtre de l’Unité : pour que la vie se lève ad infinitum.
Visions de Jacob de François Esperet : une poésie de la naissance.
Don DeLillo et le terrorisme : une autopsie du cadavre mondial (1) : Joueurs par Gregory Mion.
Don DeLillo et le terrorisme : une autopsie du cadavre mondial (2) : Les Noms par Gregory Mion.
Don DeLillo et le terrorisme : une autopsie du cadavre mondial (3) : Mao II par Gregory Mion.
Martin Eden de Jack London : des causes d’une grandeur et des raisons d’une déchéance.
Tous les hommes du roi de Robert Penn Warren : l’épreuve de la politique et la tragédie de l’homme blanc.
Léviathan de Julien Green ou le monstre amoureux qui ne dort que d’un œil.
Phénoménologie de la chambre à gaz de Didier Durmarque.
Raphaël Enthoven à Saint-Raphaël : un télévangéliste en action.
L'Amérique en guerre (8) : La Conquête du courage de Stephen Crane.
Pylône de William Faulkner.
L'Amérique en guerre (9) : Méridien de sang de Cormac McCarthy.
Du succès en littérature contemporaine : le système bien rôdé de Cécile Coulon.
Le Grand Paris d'Aurélien Bellanger.
Extension du domaine financier de Cécile Coulon : de l’ego et du commerce et rien d’autre que de l’ego et du commerce.
Le divertissement selon Blaise Pascal : les mauvaises préoccupations.
L’Amérique en guerre (10) : Des clairons dans l’après-midi d’Ernest Haycox.
Le Sauvetage de Bruce Bégout.
L’Amérique en guerre (11) : Shiloh de Shelby Foote.
La mélancolie de la résistance de László Krasznahorkai : le centre inquiétant d’une œuvre prophétique.
Un héros de notre temps de Mikhaïl Lermontov.
Joseph Conrad et Herman Melville : l’étrange innocence dans Le nègre du «Narcisse» et Billy Budd, marin.
Nostromo de Joseph Conrad : per chi suona la campana.
L’opium et le bâton de Mouloud Mammeri.
Au plus noir de la nuit d’André Brink : l’Apartheid démantelé.
Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur de Harper Lee.
Le dernier loup de László Krasznahorkai.
Seiobo est descendue sur terre de László Krasznahorkai.
Le hussard sur le toit de Jean Giono : entre les spectres du nazisme et de l’Occupation.
Look Homeward, Angel (Une histoire de la vie ensevelie) de Thomas Wolfe.
Locus Solus de Raymond Roussel : où la mort ne se regarde pas en face.
L’Amérique en guerre (12) : Lumière d’août de William Faulkner.
Le monde du silence de Max Picard.
La toile d'araignée de Joseph Roth.
Ken Loach : l’infatigable contempteur des politiques de mort.
L’Amérique en guerre (13) : L’amour en saison sèche de Shelby Foote.
Une vie cachée de Terrence Malick : l’hypothèse provocante d’une prière en faillite.
L’esclave d’Isaac Bashevis Singer.
Adolphe de Benjamin Constant : un abrégé de l’amour en décomposition.
Orgueil et préjugés de Jane Austen.
Larrons de François Esperet : une croix pour les malfrats.
Sur les ossements des morts d’Olga Tokarczuk : le cheval de Troie des animaux.
Sur le Journal de quatre ou cinq dindes confinées, par Gregory Mion et Atmane Oustani.
Zéro K de Don DeLillo : les faux-monnayeurs de la vie éternelle.
Ravage de Barjavel.
L’Amérique en guerre (14) : Perfidia de James Ellroy.
L'Amérique en guerre (15) : L’adieu aux armes d’Ernest Hemingway.
L'Amérique en guerre (16) : Ces morts heureux et héroïques de Luke Mogelson.
Alexis Zorba de Nikos Kazantzakis.
Les Enfants des morts de Heinrich Böll.
Le cœur est un chasseur solitaire de Carson McCullers.
L'Amérique en guerre (17) : Home de Toni Morrison.
Une mort dans la famille de James Agee : deuil et filiation au fond d’une âme sudiste.
L’Amérique en guerre (18) : L’intrus de William Faulkner.
Libra de Don DeLillo.
Le Temps gagné de Raphaël Enthoven : la « littérature » d’un Putanat tentaculaire et de l’onction cathodique.
L’avenir d’une illusion de Sigmund Freud.
Ne restons pas ce que nous sommes de François Esperet.
Arrachez les bourgeons, tirez sur les enfants de Kenzaburô Ôé : le digne orgueil de l’enfance.
L’Amérique en guerre (19) : 1919 (U.S.A. II) de John Dos Passos.
Entretien avec Simon Mougnol à propos du destin d’Amo Afer, un Noir professeur d’université en Allemagne au siècle des Lumières, par Gregory Mion et Atmane Oustani.
Que ma joie demeure de Jean Giono.
L’Amérique en guerre (20) : La Grande forêt de Robert Penn Warren.
Une ceinture de feuilles de Patrick White.
L'Architecture de Marien Defalvard.
Bilan métaphysique après Auschwitz de Didier Durmarque.
Défense et illustration de Marien Defalvard.
La cloche de détresse de Sylvia Plath.
L’Année de la pensée magique de Joan Didion.
L’Amérique en guerre (21) : Un endroit où aller de Robert Penn Warren.
L’Amérique en guerre (22) : Whitman de Barlen Pyamootoo.
La Terre chinoise de Pearl Buck.
Louons maintenant les grands hommes de James Agee et Walker Evans.
Les Travailleurs de la mer de Victor Hugo.
L’Amérique en guerre (23) : Les nus et les morts de Norman Mailer.
L’Amour parmi les ruines de Walker Percy.
Lettres du lac de Côme de Romano Guardini : le pressentiment de l’odieux panurgisme qui maintenant nous déshonore.
L’Amérique en guerre (24) : Paul Auster à l’écoute d’un pays traumatisé.
La Grande Pâque de Jacques Besse : un cri en provenance du désert.
L'Amérique en guerre (25) : Outremonde de Don DeLillo.
Simone Weil à l’usine : la lumière blessée au cœur des ténèbres, par Gregory Mion.
Le journal d’un manœuvre de Thierry Metz.
Le Paradis retrouvé de Halldór Laxness.
Le Monstre de Stephen Crane.
Sur la route de Jack Kerouac : pourquoi les hommes partent à l’aventure.
L'Amérique en guerre, 26 : La griffe du chien de Don Winslow ou l’empire opiomane dans l’empire mégalomane.
L'Amérique en guerre, 27 : Choses vues au Vietnam de Jacques Laurent.
L'Amérique en guerre, 28 : Bart le magnifique (Requiem).
L’impardonnable sprezzatura de Cristina Campo : celle qui souffrait en nous sauvant.
Pèlerin parmi les ombres (Nécropole) de Boris Pahor.
Heureux est l'homme de François Esperet.
L’Amérique en guerre, 29 : Le sergent Salinger de Jerome Charyn.
L’Amérique en guerre, 30 : L’invaincu de William Faulkner.
L’Amérique en guerre, 31 : Monnaie de singe de William Faulkner.
Discours sur les sciences et les arts de Jean-Jacques Rousseau : une objection au siècle des Lumières et une préfiguration de nos médiocrités.
Solénoïde de Mircea Cărtărescu : où l’enfant est à la fois un guérisseur et un législateur de l’avenir.
Des arbres à abattre (Une irritation) de Thomas Bernhard.
La palinodie d’Alexandre Grothendieck à la lumière de René Guénon.
Le Pays des sapins pointus de Sarah Orne Jewett : une terre de théophanie.
L’Amérique en guerre, 32 : Johnny s’en va-t-en guerre de Dalton Trumbo.
Les braves gens ne courent pas les rues de Flannery O’Connor.
Battling Malone (pugiliste) de Louis Hémon : la barbarie des aristocrates et l’humanité des prolétaires.
L'Amérique en guerre, 33 : Morts violentes d’Ambrose Bierce.
Le seigneur des porcheries de Tristan Egolf : savoir forcer et entendre son destin parmi les noirs oracles de l’Amérique.
La folle semence d’Anthony Burgess : présomptions autour d’une certaine obsolescence ayant trait à certains hommes.
HOWL d’Allen Ginsberg : nouvelle traduction.
Entretien autour de l’anthologie J’ai mis la main à la charrue : Gregory Mion et Henri Rosset aiguisent le soc afin de rendre la terre moins vaine.
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